Moment de grâce, lorsque pointe le respect, de sa tendre enfance toujours vivant et vrai.Mon coeur s'attendrit, lorsque devant resent, de toute la vie, ce si tendre moment.
Comment peu il être, que comme par le passé, tout à coup surgit, une si belle Véritée...De celle, qui toujours, a su donner sa vie, peut être encore le principe infini.
Au bourgeon de mère, toute sa vie, pour éclos,hommages et tendresses pour tous ces jours nouveaux. Comme une carresse, tourne et encore autour, la douce caresse de son plus tendre amour.
Je reste pourtant seule, devant tout ce silence, mais mon coeur fredonne pour bien plus qu'il ne danse. Encore aujourd'hui rien n'a su effacé, de toutes ces heures et ces nuits sacrifiées.
Honneur à ceux qui au fond de leurs yeux, en son amour brille encore un feu. Ultime tendresse bien au-delà du temps, dans le respect ne mérites tourment.
.Dans ce visage ou sillonne le jour c'est tout l'amour qui se donne sans détour. Sans un regard n'y retours aux passés, un coeur de mère est toujours habité.
De son soleil inondant toutes les heures, même en la nuit vient faire fuir la noirceur,dans sa tendresse depuis l'éternité,même dans l'averse elle a su intriguée.
Belle et tendre douceur du long jour inachevé, portant sur son coeur et ces bras la rosé.Berceau de l'aurore, du ciel toujours voilé, réchauffe sur ton coeur ce que ton âme a bercé.
Au fil du temps, tu as su préservé, tout un jardin qui a su fructifié. Sur ton pas lourd qui embrasse le sol, c"est pour toi, mère, que les fleurs chantent et que les oiseaux volent .

Fado
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