Dans ta rue n’entends tu rien venir,
Des cris de joie en gamme majeure bien entonnés
Du genre One, Two, Three viva l’Algérie ?
La marseillaise au stade, longuement, sifflée ?
Par des jeunes beurs, biens, intégrés,
Pour un poste voyant en fin de carrière,
Tes faux principes et ton parti tu trahis
En renégat et en apparatchik,
Ton maître Sarkozy tu servis,
Fier de tes exploits sans honte bue,
Tu viens nous demandé de poignarder nos aînés,
Cela même qui nous ont permis,
De te classer dans l’agenda de l’oubli,
Mais malheureux, regarde bien !
C’est dans la porte de Ben M’hidi que tu viens frappé !
rosier belda.
Des cris de joie en gamme majeure bien entonnés
Du genre One, Two, Three viva l’Algérie ?
La marseillaise au stade, longuement, sifflée ?
Par des jeunes beurs, biens, intégrés,
Pour un poste voyant en fin de carrière,
Tes faux principes et ton parti tu trahis
En renégat et en apparatchik,
Ton maître Sarkozy tu servis,
Fier de tes exploits sans honte bue,
Tu viens nous demandé de poignarder nos aînés,
Cela même qui nous ont permis,
De te classer dans l’agenda de l’oubli,
Mais malheureux, regarde bien !
C’est dans la porte de Ben M’hidi que tu viens frappé !
rosier belda.

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