Annonce

Réduire
Aucune annonce.

A tort tu m’as condamné (AIT MENGUELLET)

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • sam87
    a répondu
    merci a vous.....et pour que je finisse le travail voici ..la chanson.

    Laisser un commentaire:


  • emyou
    a répondu
    Avec Ixxef itsrun, nous avons deux poemes sublimes.
    Merci Sam.

    Laisser un commentaire:


  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    Un des plus beaux textes de Lounis Ait Menguelet. Thanemerthik sam.

    Laisser un commentaire:


  • fantia62
    a répondu
    merci sam pour ce partage

    tres beau texte; dit dans sa langue d'origine il est encore plus sublime

    Ces cendres-là que le vent emportera
    Devant ta maison il les sèmera
    Des fleurs pousseront et écloront
    De ta beauté elle tiendront
    Moi de la brume je deviendrai
    Du haut du ciel, te saluerai
    L’herbe se fera ta literie
    Le ciel une couverture qui t’envelopperait
    ce passage je le trouve particulierement emouvant

    un grand hommage a notre grand poete Lounis AIT MENGUELLAT

    Laisser un commentaire:


  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    ça c'est du texte !

    Walah c'est un grand celui là, j'ai eu la chance de le découvrir lors des "soirées musique kabyle et interprétation" avec ma mère et je ne cesserai jamais de l'admirer...

    Laisser un commentaire:


  • hben
    a répondu
    C'est en lisant la traduction que l'on se rend compte de tout ce que l'on perd de ne pouvoir lire une œuvre dans sa langue d'origine!
    Dommage!

    Laisser un commentaire:


  • sam87
    a crée une discussion A tort tu m’as condamné (AIT MENGUELLET)

    A tort tu m’as condamné (AIT MENGUELLET)

    A tort tu m’as condamné

    Et même si j’ai eu tort, ce fut involontaire.
    Pardonne-moi comme je t’ai pardonné,
    Toi qui m’est si chère
    notre amour cautérisé
    Dans l’âtre se prête aux flammes
    Enfoui, de bois fourni
    Pour que nul ne l’éteigne
    Une fumée dans le ciel s’élèvera
    Jusqu’aux nuées parviendra
    Son feu laissera des cendres
    Ces cendres-là que le vent emportera

    Ces cendres-là que le vent emportera
    Devant ta maison il les sèmera
    Des fleurs pousseront et écloront
    De ta beauté elle tiendront
    Moi de la brume je deviendrai
    Du haut du ciel, te saluerai
    L’herbe se fera ta literie
    Le ciel une couverture qui t’envelopperait

    Que l’arc-en-ciel poigne
    Pour entourer la fleur de sa pagne
    Un éclair tel un flambeau fulgurera
    La fleur, Toute sa beauté la dévoilera
    Cette pluie qui ravive les racines
    C’est moi qui l'enverrai pour elle
    Celle qui de lumières est ceinte
    Je serai ton ange gardien

    Voilà l’été qui arrive
    Où nos jours devront se séparer
    Moi, du ciel il m’effacera
    Toi tes feuilles les flétrira .brûlera ?
    je te laisse, tu me pardonneras
    Mon tort de ta raison sera compris
    Que mon amour pour toi s’est mépris
    Qu'il vint, passa, point s'arrêta

    lounis Ait Menguellet.
Chargement...
X