On m'a dit :
Que là où tu vas, il y a bataille
Là où tu passes, il y a pagaille
Pour ton sourire on se tiraille
Pour ton invitation on se chamaille
Vérité ou ridicule invention ?
Que tu reçois des lettres même de Mars
Cadeaux onéreux, offres diverses
Collection de parfums, fleurs éparses
Hallucinerais-je, ou est-ce une farce ?
Vérité ou pure spéculation ?
Chez les nababs tu provoques l'anarchie
Que ta présence honore la monarchie
Allume le feu, anime l'oligarchie
Vérité ou blague ? J'y réfléchis !
Histoire à dormir debout ou imagination ?
Pour que tu passes on a inventé le feu tricolore
Qu'on te drague du coucher à l'aurore
Devant ta senteur, tout parfum est inodore
Devant ta beauté, l'arc en ciel est incolore
Serais-tu la reine de la séduction ?
Quand tu t'absentes tu crées des nostalgiques
Que tu les transformes en pauvres alcooliques
Par enchantement, ou effets magiques
Serais-tu une sorcière ou une princesse maléfique ?
Plus qu'une star, un véritable monument
Que tu sèmes la guerre et la haine tribale
Que tu crées des concurrents et des parties rivales
Chaque moyen est bon, qu'il soit illicite ou illégal
Pour séduire cette inconnue, cette femme fatale
Que tu es un mystère, un cyclone, un tourbillon
Qu'on te dit "je t'aime" trois fois par jour
Quand on ne te le dit pas, on te fait la cour
Tes prétendants comme des mouches autour
Et si je dois t'aimer…
Je prends un jeton et j'attends mon tour
Incroyable ! Quel monde en dérision
On m'a parlé…
Des milliers de poètes pour qui tu es une muse
Des milliers d'adorateurs que tu méduses
Des ondes de charme que tu diffuses
Des auras d'attraction, des réactions confuses
Mensonges ou troubles de vision ?
Des planètes, du soleil et de la lune qui te jalousent
Des étoiles qui t'admirent autant qu'elles sont jalouses
De tes prétendant qui collent comme des ventouses
Pour qui le paradis est t'avoir comme belle épouse
Réalité ou science-fiction ?
Rassures-toi je ne suis pas un amoureux
Je ne suis que de passage, je ne suis qu'un curieux
J'ai entendu parler d'un cyclone houleux
Qui fait autant de frustrés que de furieux
Mais quelle déception !
Tout ce qu'on dit sur toi n'est que rumeurs
Tu n'es qu'une femme banale et sans cœur
Rien d'exceptionnel, rien de si enchanteur
Qui fait la joie des vauriens et des beaux parleurs
Tu veux tous les hommes à tes pieds, mais moi Non !
Que là où tu vas, il y a bataille
Là où tu passes, il y a pagaille
Pour ton sourire on se tiraille
Pour ton invitation on se chamaille
Vérité ou ridicule invention ?
Que tu reçois des lettres même de Mars
Cadeaux onéreux, offres diverses
Collection de parfums, fleurs éparses
Hallucinerais-je, ou est-ce une farce ?
Vérité ou pure spéculation ?
Chez les nababs tu provoques l'anarchie
Que ta présence honore la monarchie
Allume le feu, anime l'oligarchie
Vérité ou blague ? J'y réfléchis !
Histoire à dormir debout ou imagination ?
Pour que tu passes on a inventé le feu tricolore
Qu'on te drague du coucher à l'aurore
Devant ta senteur, tout parfum est inodore
Devant ta beauté, l'arc en ciel est incolore
Serais-tu la reine de la séduction ?
Quand tu t'absentes tu crées des nostalgiques
Que tu les transformes en pauvres alcooliques
Par enchantement, ou effets magiques
Serais-tu une sorcière ou une princesse maléfique ?
Plus qu'une star, un véritable monument
Que tu sèmes la guerre et la haine tribale
Que tu crées des concurrents et des parties rivales
Chaque moyen est bon, qu'il soit illicite ou illégal
Pour séduire cette inconnue, cette femme fatale
Que tu es un mystère, un cyclone, un tourbillon
Qu'on te dit "je t'aime" trois fois par jour
Quand on ne te le dit pas, on te fait la cour
Tes prétendants comme des mouches autour
Et si je dois t'aimer…
Je prends un jeton et j'attends mon tour
Incroyable ! Quel monde en dérision
On m'a parlé…
Des milliers de poètes pour qui tu es une muse
Des milliers d'adorateurs que tu méduses
Des ondes de charme que tu diffuses
Des auras d'attraction, des réactions confuses
Mensonges ou troubles de vision ?
Des planètes, du soleil et de la lune qui te jalousent
Des étoiles qui t'admirent autant qu'elles sont jalouses
De tes prétendant qui collent comme des ventouses
Pour qui le paradis est t'avoir comme belle épouse
Réalité ou science-fiction ?
Rassures-toi je ne suis pas un amoureux
Je ne suis que de passage, je ne suis qu'un curieux
J'ai entendu parler d'un cyclone houleux
Qui fait autant de frustrés que de furieux
Mais quelle déception !
Tout ce qu'on dit sur toi n'est que rumeurs
Tu n'es qu'une femme banale et sans cœur
Rien d'exceptionnel, rien de si enchanteur
Qui fait la joie des vauriens et des beaux parleurs
Tu veux tous les hommes à tes pieds, mais moi Non !
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