J’aime
J’aime quand tu me souris au matin
Dans la voiture
Cela me rassure
Cela me fait rougir :22:
Quand tu me donnes un câlin
J’aime quand tu danses,
Le regard cherchant comiquement les pas
Le mouvement sâlin, la fluidité de tes bras
Tes hanches qui chantent
Ta beauté qui toujours s’élance
Et moi assis sur le divan les yeux en transe
J’aime te voir comme un enfant :surprise:
Les yeux brillant d’un rire levant
Les pommettes roses en sable mouvant
Et les oreilles légères écourtant le temps
J’aime lorsque tu viens me prendre
Te donner entière dans un baiser amoureusement tendre
Car ainsi en moi disparaîssent les cendres âpres
Parce que j’aime sentir l’exaltant feu papillonné du ventre
J’aime me coller à Toi sur ton corps chaud et moelleux
J’ai l’impression d’être le plus heureux
Le désir en Moi monte comme une poussée des cieux
Dévorant ma conscience d’un appétit douteux !
J’aime caresser ta chair
d’une main douce et féroce à la fois
Que tu me chavires l’émoi
D’un habile choix
Riant de moi lorsque j’exprime ma joie
De venir en toi en me foutant des rois
J’aime entendre ta voix au téléphone
Sensuelle mélodie quand tu te nommes ;
«c’est bien Moi ta douce anémone
viens me rejoindre nous mangerons La pommes»
J’aime lorsque tu me vois clair
Me disant ce que tu as «vu» hier
Dans le noir un troll en colère
Parce qu’il n’avait pu goûter ta chair
J’aime te voir belle et sévère
Comme si tu en voulais à la terre entière
D’avoir oublié de te choisir première
Quand le monde préfère écouter des méméres
Lorsque le temps est venu d’exprimer notre Père Mère
J’aime quand tu pleures
En regardant danser tes pieds
Lorsque sous les arbres tu te laisses aller
Même quand tu oublies d’y participer ;
Je t’aime Mon Ange que j’ai crée
J’aime te voir marcher dans les bois
Marié que tu es au sentier étroit
Et sous les feuilles d’Automne
Ô magique toît
J’épelle ton nom entre le vent de mes doigts :smile:
J’aime ton profil
à la lueur de la chandelle verte
tes yeux sereins et calmes qui se retournent
certes
Sur ma voix qui jamais ne s’arrête
Jusqu’à ce que tu m’ouvres ta porte
Secrète
J’aime à l’Or entendre notre tête muette
Que l’on se dise enfin
que nous sommes prêts
à laisser ensemble tomber
nos croyances inquiètes
pour s’Aimer l’Un et l’Autre
dans ce que l’on Est
J’aime quand tu me souris au matin
Dans la voiture
Cela me rassure
Cela me fait rougir :22:
Quand tu me donnes un câlin
J’aime quand tu danses,
Le regard cherchant comiquement les pas
Le mouvement sâlin, la fluidité de tes bras
Tes hanches qui chantent
Ta beauté qui toujours s’élance
Et moi assis sur le divan les yeux en transe
J’aime te voir comme un enfant :surprise:
Les yeux brillant d’un rire levant
Les pommettes roses en sable mouvant
Et les oreilles légères écourtant le temps
J’aime lorsque tu viens me prendre
Te donner entière dans un baiser amoureusement tendre
Car ainsi en moi disparaîssent les cendres âpres
Parce que j’aime sentir l’exaltant feu papillonné du ventre
J’aime me coller à Toi sur ton corps chaud et moelleux
J’ai l’impression d’être le plus heureux
Le désir en Moi monte comme une poussée des cieux
Dévorant ma conscience d’un appétit douteux !

J’aime caresser ta chair
d’une main douce et féroce à la fois
Que tu me chavires l’émoi
D’un habile choix
Riant de moi lorsque j’exprime ma joie
De venir en toi en me foutant des rois
J’aime entendre ta voix au téléphone
Sensuelle mélodie quand tu te nommes ;
«c’est bien Moi ta douce anémone
viens me rejoindre nous mangerons La pommes»

J’aime lorsque tu me vois clair
Me disant ce que tu as «vu» hier
Dans le noir un troll en colère
Parce qu’il n’avait pu goûter ta chair
J’aime te voir belle et sévère

Comme si tu en voulais à la terre entière
D’avoir oublié de te choisir première
Quand le monde préfère écouter des méméres
Lorsque le temps est venu d’exprimer notre Père Mère
J’aime quand tu pleures
En regardant danser tes pieds
Lorsque sous les arbres tu te laisses aller
Même quand tu oublies d’y participer ;
Je t’aime Mon Ange que j’ai crée
J’aime te voir marcher dans les bois
Marié que tu es au sentier étroit
Et sous les feuilles d’Automne
Ô magique toît
J’épelle ton nom entre le vent de mes doigts :smile:
J’aime ton profil
à la lueur de la chandelle verte
tes yeux sereins et calmes qui se retournent
certes
Sur ma voix qui jamais ne s’arrête
Jusqu’à ce que tu m’ouvres ta porte
Secrète
J’aime à l’Or entendre notre tête muette
Que l’on se dise enfin
que nous sommes prêts
à laisser ensemble tomber
nos croyances inquiètes
pour s’Aimer l’Un et l’Autre
dans ce que l’on Est

Commentaire