Les mots de ma peine
Dieu que j'aime cette ecriture
Cette flamme manipulée entre mes doigts
Cette feuille blanche et froide
Comme une vierge a la peau de lait
Que le sang imbibe de douleurs
J'aime agressé mes mots
J'aime faire suer la rime
J'aime hair et adorer
Puisque les verbes sont conjugués
Puisque l'auditoire est subjugué
Puisque l'on m'interdit d'etre humain
Je veux mélanger le malsain
Dieu que me manque le gout de l'amertume
Lorsque la mer avale mes certitudes
Lorsque mes os plient sous le poids
Lorsque seul....
Le Diable me vouvoie
Il sait bien ma plume porté a incandescence
Je brule les apôtres sans condescendance
Sur mon corps les diablesses
Écrivent leurs doléances
Les anges m'adresse leurs condoléances
Oui, j'aime l'habillé d'étoiles éclaires
D'éclairs foudroyant mon âme
Je suis céleste
Rêveur et taché de cyanure
Pour un jour être pur
Je me suis marié avec demain
Pour espéré encore en lui
Il m'a déçu
En me trompant avec hier
La rage...
Anéantie
Je me réveille entre plusieurs femmes
Au orbites éclatés
Elle me supplient de les aimé
De leur apprendre
La façon d'amadouer les douleurs
Mais laisser moi Oh amantes aveuglées
Crier ma peine
Dans un ciel de soie
Rougeoyante
Et dans la brume laiteuse
Du regard vierge
D'une armé de désespérés
Je marche
Je marche
Un jour je ne pourrais plus
Écrire si bien ma peine
Mais j'aime cette écriture
Qui prostitue...
Ma peine...
Chaarar,
Dieu que j'aime cette ecriture
Cette flamme manipulée entre mes doigts
Cette feuille blanche et froide
Comme une vierge a la peau de lait
Que le sang imbibe de douleurs
J'aime agressé mes mots
J'aime faire suer la rime
J'aime hair et adorer
Puisque les verbes sont conjugués
Puisque l'auditoire est subjugué
Puisque l'on m'interdit d'etre humain
Je veux mélanger le malsain
Dieu que me manque le gout de l'amertume
Lorsque la mer avale mes certitudes
Lorsque mes os plient sous le poids
Lorsque seul....
Le Diable me vouvoie
Il sait bien ma plume porté a incandescence
Je brule les apôtres sans condescendance
Sur mon corps les diablesses
Écrivent leurs doléances
Les anges m'adresse leurs condoléances
Oui, j'aime l'habillé d'étoiles éclaires
D'éclairs foudroyant mon âme
Je suis céleste
Rêveur et taché de cyanure
Pour un jour être pur
Je me suis marié avec demain
Pour espéré encore en lui
Il m'a déçu
En me trompant avec hier
La rage...
Anéantie
Je me réveille entre plusieurs femmes
Au orbites éclatés
Elle me supplient de les aimé
De leur apprendre
La façon d'amadouer les douleurs
Mais laisser moi Oh amantes aveuglées
Crier ma peine
Dans un ciel de soie
Rougeoyante
Et dans la brume laiteuse
Du regard vierge
D'une armé de désespérés
Je marche
Je marche
Un jour je ne pourrais plus
Écrire si bien ma peine
Mais j'aime cette écriture
Qui prostitue...
Ma peine...
Chaarar,
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