Un jour je serai pour toi une étrangère
Etrange hère qui viendra vers toi
Ce sera d’une certaine manière
Une première fois que tu me verras
Un jour viendra où tu ne seras plus tout à fait ma mère
Mais une inconnue qui aura peut être peur de moi
Que représenterais-je pour toi ?
Reculeras-tu quand je voudrai te serrer contre moi ?
Quel souvenir de moi ta mémoire préservera ?
Ne serait je devenue qu’un éclat ?
Un jour peut être, sans doute,
Dans ta tête ce sera le néant
Un fossé béant, le vide qui s’installe,
Un dédale une spirale infernale,
Qui t’entrainera loin de moi loin de toi
Et me chassera comme un vandale
Je sais que je voudrai chasser de ton regard
Tout sentiment d’effroi de panique de désespoir
C’est toujours toi ce sera toujours moi
Rien n’y changera et surtout pas ça
D’ailleurs entre nous, cet instant on le connait déjà
Ce ne sont encore que des instants
Où le temps joue tout le temps
Avec ta mémoire
Des mines explosent comme ça au hasard
Mettant le bazar dans le placard de ta mémoire
Et je vois ton regard qui s’enfonce dans le noir
Me transperce et traverse comme un objet vide
Tu t’envoles et je reste à terre
Guettant la lumière qui te redescendra vers moi
Une course contre le temps
Une lute contre l’oubli
Contre l’effacement de ce qui nous a unis
Pour autant, le bonheur est là et bien là
Ma mémoire est encore ton miroir
Ton chagrin ne t’emporte pas trop loin
L’étrangère t’est encore bien familière
Et tu verras comme elle le restera
Alors aucune tristesse aucune détresse
Juste de l’amour et du bonheur à partager.
morjane
21/06/10
Etrange hère qui viendra vers toi
Ce sera d’une certaine manière
Une première fois que tu me verras
Un jour viendra où tu ne seras plus tout à fait ma mère
Mais une inconnue qui aura peut être peur de moi
Que représenterais-je pour toi ?
Reculeras-tu quand je voudrai te serrer contre moi ?
Quel souvenir de moi ta mémoire préservera ?
Ne serait je devenue qu’un éclat ?
Un jour peut être, sans doute,
Dans ta tête ce sera le néant
Un fossé béant, le vide qui s’installe,
Un dédale une spirale infernale,
Qui t’entrainera loin de moi loin de toi
Et me chassera comme un vandale
Je sais que je voudrai chasser de ton regard
Tout sentiment d’effroi de panique de désespoir
C’est toujours toi ce sera toujours moi
Rien n’y changera et surtout pas ça
D’ailleurs entre nous, cet instant on le connait déjà
Ce ne sont encore que des instants
Où le temps joue tout le temps
Avec ta mémoire
Des mines explosent comme ça au hasard
Mettant le bazar dans le placard de ta mémoire
Et je vois ton regard qui s’enfonce dans le noir
Me transperce et traverse comme un objet vide
Tu t’envoles et je reste à terre
Guettant la lumière qui te redescendra vers moi
Une course contre le temps
Une lute contre l’oubli
Contre l’effacement de ce qui nous a unis
Pour autant, le bonheur est là et bien là
Ma mémoire est encore ton miroir
Ton chagrin ne t’emporte pas trop loin
L’étrangère t’est encore bien familière
Et tu verras comme elle le restera
Alors aucune tristesse aucune détresse
Juste de l’amour et du bonheur à partager.
morjane
21/06/10


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