Dans cet îlot de paradis
Où la mesure du temps
Nous rappelle les passions assoupies
Dans ce calme paisible
Face à cette mer émeraude si limpide
Les cheveux épars, le cœur à la fantaisie
Le soleil verse sur sa peau
Une pluie de diamant dorés
Comblant son âme de bohème empreinte de poésie
Son cœur se fait faïence face à toute souffrance
Fébrile est son impatience
A vouloir survoler le toit du monde
Où kyrielle d’étoiles valsent en ronde
Admirant ce soir la lune si blonde
Et son filet de lumière où la sérénité abonde
Des gorges profondes de la terre
Sur les terres arides, peu fertiles ou même fleuries
La source de vie n’est pas encore tarie
Et tombe en cascade sur son cœur
Une flopée d’impressions reflétant le bonheur
Qu’en cet instant fugace elle ressent comme des heures
La nature lui parle de ses trésors
Diaprée dans ses paysages et ses longs cheveux d’or
Sa beauté éveille en son cœur un amour couleur or
Le visage de son éphèbe au sourire empli de tendresse
Apparaît au creux de la nuit vaporeuse et enchanteresse
Pour lui rappeler sa joie immense, et son âme en liesse
Qui a souvenance, qu’un jour, à la croisée des chemins
Sur la route qu’empruntait son destin
Se trouvait l’étoile de sa renaissance tendant vers elle ses mains
Rencontre magistrale et régénératrice
Moment de pur génie de solstice en solstice
Sublimant les secondes jusqu’au plus petit interstice
La rendant plus délicate qu’une capucine
Plus précieuse qu’une cornaline
Aux yeux de l’éphèbe, fabuleusement divine
Tel un majestueux geysers
Son cœur explose de chaleur et de lumière
Et son cri d’amour s’entend à des années lumières...
Où la mesure du temps
Nous rappelle les passions assoupies
Dans ce calme paisible
Face à cette mer émeraude si limpide
Les cheveux épars, le cœur à la fantaisie
Le soleil verse sur sa peau
Une pluie de diamant dorés
Comblant son âme de bohème empreinte de poésie
Son cœur se fait faïence face à toute souffrance
Fébrile est son impatience
A vouloir survoler le toit du monde
Où kyrielle d’étoiles valsent en ronde
Admirant ce soir la lune si blonde
Et son filet de lumière où la sérénité abonde
Des gorges profondes de la terre
Sur les terres arides, peu fertiles ou même fleuries
La source de vie n’est pas encore tarie
Et tombe en cascade sur son cœur
Une flopée d’impressions reflétant le bonheur
Qu’en cet instant fugace elle ressent comme des heures
La nature lui parle de ses trésors
Diaprée dans ses paysages et ses longs cheveux d’or
Sa beauté éveille en son cœur un amour couleur or
Le visage de son éphèbe au sourire empli de tendresse
Apparaît au creux de la nuit vaporeuse et enchanteresse
Pour lui rappeler sa joie immense, et son âme en liesse
Qui a souvenance, qu’un jour, à la croisée des chemins
Sur la route qu’empruntait son destin
Se trouvait l’étoile de sa renaissance tendant vers elle ses mains
Rencontre magistrale et régénératrice
Moment de pur génie de solstice en solstice
Sublimant les secondes jusqu’au plus petit interstice
La rendant plus délicate qu’une capucine
Plus précieuse qu’une cornaline
Aux yeux de l’éphèbe, fabuleusement divine
Tel un majestueux geysers
Son cœur explose de chaleur et de lumière
Et son cri d’amour s’entend à des années lumières...
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