Relatif aux obscures
Le silence s'essoufflait, sur le mur
La mer en sueur, portait encore
Les vagues, striant l'horizon
L'horloge, bloquait la saison.
Tout était stable, blanc,
La table vissé dans le salon
Les chiens décédés, les cartons
Un déménagement, perpétuel...
Un escalier, une ruche de petons
Agiles, soyeux, lourd de dictons
Des empreintes de chaleur
Crépitait dans un feu hallucinant.
Derrières les épaules de la maison
La photo du boucher tout laid,
Entouré d'un cadre poisseux
Son sourire glaçant le vent
Les chaises installé n'importe comment
N'invitais pas a la relaxation,
Ces engins de mort, triomphant
Attendaient leurs spectres pour grincé
Le sable, tel une clepsydre folle
S'égrainait, quant l'eau séchait,
Et la mer dans son manteau bleu
Refusait pourtant l'étreinte
Des bibelots dorés, et froid
Venant des temps immémoriaux,
Étaient savamment disposé
Dans le bois d'une armoire desséchée
Une ombre gisait en contre bas,
Brillante et rare, barricadé
Dans la crasse d'une lumière,
Mal distillée par l'abat jour
Peu a peu, la peau s'habituait
Aux sueurs, aux tremblements
Offrant au vices, une confession
Aux païens...L'extrême onction.
Les vieux, embroché dans leurs déchet
Racontaient qu'ici venaient mourir
Les hommes inutiles
Et les enfants battus...
Et moi, je n'avais ni l'âme joviale
Ni la conscience juvénile,
Pourtant les poutres, comme mes os
Faisait de moi leur porteur d'eau
Satan-ou un fou-m'avait enjolivé
Les poisses stériles et les larmes blanches
Les assassinats de couloirs
Les fratricides, et les rouquines intoxiqués
Un rideau rouge
Séparait le clair et l'obscur,
La chair et l'eau, le vent et ma mère
Le sceau de la vie, l'obstacle au bonheur
Ma quête de survie...
Un surplus d'âme ?
J'analysait alors différemment ce lieu,
Les chaises volait en morceaux
Les danses hindoues, les cabrioles
Le rouge, le noir, entrait en fusion
J'allais mourir...comme je le rêvais
Entre les cadavres exquis, et la nature
Tout communiquais avec moi
Tous étaient là...Enfin
Pour moi,
Le silence s'essoufflait, sur le mur
La mer en sueur, portait encore
Les vagues, striant l'horizon
L'horloge, bloquait la saison.
Tout était stable, blanc,
La table vissé dans le salon
Les chiens décédés, les cartons
Un déménagement, perpétuel...
Un escalier, une ruche de petons
Agiles, soyeux, lourd de dictons
Des empreintes de chaleur
Crépitait dans un feu hallucinant.
Derrières les épaules de la maison
La photo du boucher tout laid,
Entouré d'un cadre poisseux
Son sourire glaçant le vent
Les chaises installé n'importe comment
N'invitais pas a la relaxation,
Ces engins de mort, triomphant
Attendaient leurs spectres pour grincé
Le sable, tel une clepsydre folle
S'égrainait, quant l'eau séchait,
Et la mer dans son manteau bleu
Refusait pourtant l'étreinte
Des bibelots dorés, et froid
Venant des temps immémoriaux,
Étaient savamment disposé
Dans le bois d'une armoire desséchée
Une ombre gisait en contre bas,
Brillante et rare, barricadé
Dans la crasse d'une lumière,
Mal distillée par l'abat jour
Peu a peu, la peau s'habituait
Aux sueurs, aux tremblements
Offrant au vices, une confession
Aux païens...L'extrême onction.
Les vieux, embroché dans leurs déchet
Racontaient qu'ici venaient mourir
Les hommes inutiles
Et les enfants battus...
Et moi, je n'avais ni l'âme joviale
Ni la conscience juvénile,
Pourtant les poutres, comme mes os
Faisait de moi leur porteur d'eau
Satan-ou un fou-m'avait enjolivé
Les poisses stériles et les larmes blanches
Les assassinats de couloirs
Les fratricides, et les rouquines intoxiqués
Un rideau rouge
Séparait le clair et l'obscur,
La chair et l'eau, le vent et ma mère
Le sceau de la vie, l'obstacle au bonheur
Ma quête de survie...
Un surplus d'âme ?
J'analysait alors différemment ce lieu,
Les chaises volait en morceaux
Les danses hindoues, les cabrioles
Le rouge, le noir, entrait en fusion
J'allais mourir...comme je le rêvais
Entre les cadavres exquis, et la nature
Tout communiquais avec moi
Tous étaient là...Enfin
Pour moi,
Chaarar,
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