Au moment de vivre
Tout était éteint,
Les visages ciré
A la sueurs,
Au dur labeur
Les murs aussi.
Une horloge au mercure
Gardait chastement
L'éternité dans ses aiguilles
Déchirant la jeunesse
En rides sur leurs gueules
Et moi, je jouais a l'eau
M'interdisant d'hydraté ma peau
De mes larmes carbonisées
Trouvant leurs sources
A l'intérieur de mes os
Je les entends bavarder
Dire que, j'etait mort
Que les ombres nazies
Se partage la dépouille
Du plus merveilleux des bâtard
Être mort, ne m'effrayais pas
J'aurais ainsi les matériaux
Pour construire nos nuits
Mon amour...
Pour que le silence s'éparpille
Qu'il nous offre cet espace
Pour se regarder,
Pour se mouvoir dans le sombre
Alliés nos ombres
Crée une autre pénombre
Enfin-fragrances de printemps-
Rimait avec joie, et sérénité
Où nos secrets n'etais pas honteux
Au moment de vivre
On m'annonçais ma mort.
Onirique stances et vagabondages
On nourri un esprit torturé
Et je l'avoue volontiers
J'ai hait, une partie de ma vie
Les fontaines et leurs fortune noyée
Je te les montrerais,
Ces hommes boitant,
Ces femmes éternellement enceinte
Ces ménopauses de ciments
Hérités des noces de goudron
Tu posera tes linges.
Sur ce bois qui connait mon histoire
Qui se tordra de douleur
Il te parlera de moi
Il crachera sur nous.
Brule le dans tes reins.
Car au moment de vivre
Les hommes avaient tous fuit
Et j'etais resté avec mes frère
Ces symboles idiots et abscons
Le fer, le brun, l'écarlate
Le pourpre et quelques orphelins
Les taches de rousseurs
Ils s'étaient alliés a moi
Avait parlé en mon nom
Je t'aimerais même.
L'âme marqué au fer rouge
Derrière les persiennes bloqué
La respiration haletante
Je t'écrirais encore,
Que je t'aime.
Chaarar,
Tout était éteint,
Les visages ciré
A la sueurs,
Au dur labeur
Les murs aussi.
Une horloge au mercure
Gardait chastement
L'éternité dans ses aiguilles
Déchirant la jeunesse
En rides sur leurs gueules
Et moi, je jouais a l'eau
M'interdisant d'hydraté ma peau
De mes larmes carbonisées
Trouvant leurs sources
A l'intérieur de mes os
Je les entends bavarder
Dire que, j'etait mort
Que les ombres nazies
Se partage la dépouille
Du plus merveilleux des bâtard
Être mort, ne m'effrayais pas
J'aurais ainsi les matériaux
Pour construire nos nuits
Mon amour...
Pour que le silence s'éparpille
Qu'il nous offre cet espace
Pour se regarder,
Pour se mouvoir dans le sombre
Alliés nos ombres
Crée une autre pénombre
Enfin-fragrances de printemps-
Rimait avec joie, et sérénité
Où nos secrets n'etais pas honteux
Au moment de vivre
On m'annonçais ma mort.
Onirique stances et vagabondages
On nourri un esprit torturé
Et je l'avoue volontiers
J'ai hait, une partie de ma vie
Les fontaines et leurs fortune noyée
Je te les montrerais,
Ces hommes boitant,
Ces femmes éternellement enceinte
Ces ménopauses de ciments
Hérités des noces de goudron
Tu posera tes linges.
Sur ce bois qui connait mon histoire
Qui se tordra de douleur
Il te parlera de moi
Il crachera sur nous.
Brule le dans tes reins.
Car au moment de vivre
Les hommes avaient tous fuit
Et j'etais resté avec mes frère
Ces symboles idiots et abscons
Le fer, le brun, l'écarlate
Le pourpre et quelques orphelins
Les taches de rousseurs
Ils s'étaient alliés a moi
Avait parlé en mon nom
Je t'aimerais même.
L'âme marqué au fer rouge
Derrière les persiennes bloqué
La respiration haletante
Je t'écrirais encore,
Que je t'aime.
Chaarar,
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