Je viens me confesser mon Père
Que de souvenirs repose ma mère
Est-ce un âge refoulé par mon Père
Qui rend à Mama la vie amère ?
Ils sont si beaux contre le mûre
Elle dans sa robe de noce, lui chevalier portant son armure
Ils sont jeunes, non pas très mures
Ils sont amoureux, c’est sûre
Mon Père, savez vous compter ?
Deux plus deux, combien ça fait ?
Vingt deux ans de mariage, Padré
Quatre enfants en sont nés
Les journées passent les années aussi
Le temps marque les pensées, les visages ainsi
Son regard reste même, le sien sombré
Embrasses-moi dit elle, comptes-y
Les journées passent, les années meurent
Peu d’argent, elle l’a soutenu sans peur
Beaucoup d’argent , il l’a rejette sans pleurs
Elle regrette son unique chambre de compagne, déchire son cœur
Elle rejette ses chambres d’ici, quelle splendeur
Avez vous comprit mon Père ?
Faites donc un miracle
Redressez donc chemin qui se perd
Ou est la raison, ou est le diable ?
Je l’entend me parler, elle se confesse
Elle m’ouvre son cœur qui pleur sans cesse
Je pleur sa peine, partage sa tristesse
Mes larmes jaillissent de tendresse
Pour cette femme qui veut retrouver son amour de jeunesse
Pour cet homme qui veut retrouver un peu de jeunesse.
Droctovée
1 Mai 2003
Que de souvenirs repose ma mère
Est-ce un âge refoulé par mon Père
Qui rend à Mama la vie amère ?
Ils sont si beaux contre le mûre
Elle dans sa robe de noce, lui chevalier portant son armure
Ils sont jeunes, non pas très mures
Ils sont amoureux, c’est sûre
Mon Père, savez vous compter ?
Deux plus deux, combien ça fait ?
Vingt deux ans de mariage, Padré
Quatre enfants en sont nés
Les journées passent les années aussi
Le temps marque les pensées, les visages ainsi
Son regard reste même, le sien sombré
Embrasses-moi dit elle, comptes-y
Les journées passent, les années meurent
Peu d’argent, elle l’a soutenu sans peur
Beaucoup d’argent , il l’a rejette sans pleurs
Elle regrette son unique chambre de compagne, déchire son cœur
Elle rejette ses chambres d’ici, quelle splendeur
Avez vous comprit mon Père ?
Faites donc un miracle
Redressez donc chemin qui se perd
Ou est la raison, ou est le diable ?
Je l’entend me parler, elle se confesse
Elle m’ouvre son cœur qui pleur sans cesse
Je pleur sa peine, partage sa tristesse
Mes larmes jaillissent de tendresse
Pour cette femme qui veut retrouver son amour de jeunesse
Pour cet homme qui veut retrouver un peu de jeunesse.
Droctovée
1 Mai 2003
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