La, doucement, prends ma main
N'hesite pas, pleure toutes les larmes
De ton corps, celle qui jadis fut tienne
Fut votre, fut notre et qui bercait tes lendemains
A present par malheur est brise le charme
Maudits soient les cris des hyenes !
Le carillon retentit, sonne le glas
Les levres ont tente d'emettre l'ultime souffle
Annoncant l'amorce d'une vie nouvelle
Pour elle, pour vous, passant de vie a trepas
Qui remplit le tonneau des Danaides s'essouffle
Maudite soit la voix de l'eternel !
Sinistre verite n'admettant aucun mot
Ni pour la qualifier, ni pour consoler
Le futur s'abreuve de l'ineluctable Rupture
Quelle torture ! Tant va la cruche a l'eau...
La derniere demeure solitude sublimee
D'une femme au coeur tendre et fragile, d'une mere au coeur pur
Danse macabre au rythme tonitruant,
Vacarme disgracieux, tintamarre de fausses notes, Chante chante tenor !
Harmonieuse plethore de douleur, ce chantre du declin
Au Royaume hilarant de la Muse suintent les perles au gre du temps
Etouffant le bemol au sourire ironique du sort
Sur le tempo des soupirs d'enfants a tout jamais orphelins.
Fennala se souvient.
N'hesite pas, pleure toutes les larmes
De ton corps, celle qui jadis fut tienne
Fut votre, fut notre et qui bercait tes lendemains
A present par malheur est brise le charme
Maudits soient les cris des hyenes !
Le carillon retentit, sonne le glas
Les levres ont tente d'emettre l'ultime souffle
Annoncant l'amorce d'une vie nouvelle
Pour elle, pour vous, passant de vie a trepas
Qui remplit le tonneau des Danaides s'essouffle
Maudite soit la voix de l'eternel !
Sinistre verite n'admettant aucun mot
Ni pour la qualifier, ni pour consoler
Le futur s'abreuve de l'ineluctable Rupture
Quelle torture ! Tant va la cruche a l'eau...
La derniere demeure solitude sublimee
D'une femme au coeur tendre et fragile, d'une mere au coeur pur
Danse macabre au rythme tonitruant,
Vacarme disgracieux, tintamarre de fausses notes, Chante chante tenor !
Harmonieuse plethore de douleur, ce chantre du declin
Au Royaume hilarant de la Muse suintent les perles au gre du temps
Etouffant le bemol au sourire ironique du sort
Sur le tempo des soupirs d'enfants a tout jamais orphelins.
Fennala se souvient.

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