Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Islande

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Islande

    Islande





    Tes vallées m'ensorcellent, tes volcans endormis
    Ilôt du bout du Nord, territoire inconquis
    Un filet de fumée s'évapore d'un cratère
    Car la nature domine et les hommes et la terre
    Car elle seule te façonne ! Et tu nous fait rêver !
    Intrigante contrée, pays de contes de fées !
    Tes vallées m'ensorcellent, tes volcans endormis
    Ilôt du bout du Nord, territoire inconquis
    Comme le réel se mêle si souvent aux légendes
    Tes lutins, tes serments, tes plages sombres comme la nuit
    Tes montagnes éscarpées qui encerclent ta lande
    Tous tes enchantements, tes songes tombant en pluie
    Tes vallées m'ensorcellent, tes volcans endormis...





    Essai d'un rondel



    27/08/2004
    Lana

    Les femmes nous aiment pour nos défauts. Si nous en avons suffisamment, elles nous pardonnent tout, même l'intelligence.
    Oscar Wilde.

  • #2
    Bonjour Lana,

    J'aime beaucoup ton rondel. Cela donne un rythme, une cadence au poème. Il est entrainant tout en restant doux. Il est ensorcelant et tes mots sont féeriques.
    Pour un essai, c'est un coup de Maître... Merci

    Commentaire


    • #3
      oulala Morjane serais-tu envoutée!
      Lana

      Les femmes nous aiment pour nos défauts. Si nous en avons suffisamment, elles nous pardonnent tout, même l'intelligence.
      Oscar Wilde.

      Commentaire


      • #4
        Envoyé par Lana
        oulala Morjane serais-tu envoutée!
        Ensorcelée...oui!

        Commentaire


        • #5
          Il y a toujours de la magie dans tes compositions Lana, c'est extrêmement agréable, et cela touche toujours la part de rêve enfouie au fond de nous :wink:

          Commentaire


          • #6
            vraiment? Merci...
            Lana

            Les femmes nous aiment pour nos défauts. Si nous en avons suffisamment, elles nous pardonnent tout, même l'intelligence.
            Oscar Wilde.

            Commentaire

            Chargement...
            X