Les âges perdus qui avancent .. !
C’est nos âges perdus
Que nous racontons sans omission
C’est nos rêves pendus
A l’arche des érosions
Sans envergure
Nous savons impertinemment
Que vous avez la mort
Comme un bout de lèvres
C’est en son nom que vous rêvez
Que vous parlez
Que vous chantez
Et que vous offusquer les cœurs des anges
Avec des paroles étranges
Au langage du peuple !
Le peuple prit soudainement
A la « grande » ..
Par les remparts des étoffes
Qui enterrent leur dépouilles
Par la hâte d’une vie qui étouffe
Par les dits et dits que l’espoir
Et renter chez-lui
Sans nous dire au revoir..
Certainement il en doutait
Il présentait sans avouer
Lui aussi .. pour pas nous chagriner
Que le retour est improbable !
Mohamed reprend ta valise
Nous allons sur le haut de la falaise
La falaise de Sétif
Pour saluer le temps ancien
Nous allons sans surprise
Ecouter les chants des cerises
Et rêver un temps de rien
Ils ont tranché de nous abattre
Comme toute rose sur leur passage
Nous dépasserons les champs
Avant de perdre nos âges
En foudroyante course
Jusqu’au pays des genêts
Là le sang n’est pas asséché
Des enfants de la liberté
Des enfants d’Algérie
Des enfants de Nedjma.
Postra.
C’est nos âges perdus
Que nous racontons sans omission
C’est nos rêves pendus
A l’arche des érosions
Sans envergure
Nous savons impertinemment
Que vous avez la mort
Comme un bout de lèvres
C’est en son nom que vous rêvez
Que vous parlez
Que vous chantez
Et que vous offusquer les cœurs des anges
Avec des paroles étranges
Au langage du peuple !
Le peuple prit soudainement
A la « grande » ..
Par les remparts des étoffes
Qui enterrent leur dépouilles
Par la hâte d’une vie qui étouffe
Par les dits et dits que l’espoir
Et renter chez-lui
Sans nous dire au revoir..
Certainement il en doutait
Il présentait sans avouer
Lui aussi .. pour pas nous chagriner
Que le retour est improbable !
Mohamed reprend ta valise
Nous allons sur le haut de la falaise
La falaise de Sétif
Pour saluer le temps ancien
Nous allons sans surprise
Ecouter les chants des cerises
Et rêver un temps de rien
Ils ont tranché de nous abattre
Comme toute rose sur leur passage
Nous dépasserons les champs
Avant de perdre nos âges
En foudroyante course
Jusqu’au pays des genêts
Là le sang n’est pas asséché
Des enfants de la liberté
Des enfants d’Algérie
Des enfants de Nedjma.
Postra.

Tazerwalt
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