Déclin
Les feuilles cicatrisées chatouillent mes épaules frileuses.
Je les piétine dans une étourderie amoureuse.
Les arbres se costument en des coloris provocants.
Les branches presque dénudés tanguent au gré d’un chant.
La confusion d’un vent pleurnichard.
Des lamentations nocturnes, bizarres.
Des nuages perçant un mouchoir livide.
Nature apeurée, affolée, champs insipide.
Un bouleau effrayé clame sa crainte dépouillée.
Les sapins l’entourent avec fermeté et chasteté.
La nature se dandine à la recherche d’un réconfort.
Une pluie parcheminée trace de mauvais sorts.
Enfin la nuit d’encre endort les paysages nerveux.
Un calme étouffant, le paysage d’un vent heureux.
Je m’endors dans le paisible crépitement d’un foyer.
Dehors l’acharnement d’une saison déracinée.
Les feuilles cicatrisées chatouillent mes épaules frileuses.
Je les piétine dans une étourderie amoureuse.
Les arbres se costument en des coloris provocants.
Les branches presque dénudés tanguent au gré d’un chant.
La confusion d’un vent pleurnichard.
Des lamentations nocturnes, bizarres.
Des nuages perçant un mouchoir livide.
Nature apeurée, affolée, champs insipide.
Un bouleau effrayé clame sa crainte dépouillée.
Les sapins l’entourent avec fermeté et chasteté.
La nature se dandine à la recherche d’un réconfort.
Une pluie parcheminée trace de mauvais sorts.
Enfin la nuit d’encre endort les paysages nerveux.
Un calme étouffant, le paysage d’un vent heureux.
Je m’endors dans le paisible crépitement d’un foyer.
Dehors l’acharnement d’une saison déracinée.
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