A quoi ça sert la vie ?
Quand on la voit meurtris
A quoi ça sert de respirer
Puisque tout est pollué
A quoi ça sert d’avancer
Puisque l’on est prisonnier
Dans des tours de carnage
Là où l’air est si glacial
De chaînes si visibles
De pluie de torrents d’acides
De bombes corrosives
Qui rends les cœurs arides
Des déserts d’eaux salées
Qui laissent la gorge brûlée
Tant de larmes noyées
« Tais toi ! Je t’ai dit d’avancer »
Et puis au loin soudain
Me revient un air de jasmin
Je m’élance sans frémir
Est-ce que je dois gémir ?
Posant là contre un arbre
Mes doigts couvert d’échardes
Je caresse l'unique branche
Pliant sous le chagrin
Rien ne la fera rompre
Elle sait qu’elle est la vie
Comme un radeau au milieu de l’océan
Mes pleurs hurlent au vent
Est-ce que cela va s’arrêter ?
Ah ! Oui ne plus jamais souffrir
Ne plus jamais détruire
Ne plus jamais penser
Etre un ruisseau paisible
Un papillon gracile
Etre une fleur de paix
La touche d’humanité
Dans les cœurs à jamais
Et mon regard s’élance vers l’azur
Le ciel est encore si pur
Ce bleu va reposer
Mes yeux si fatigué
A chercher en mon âme
Pourquoi les hommes se damnent
Et je souris au soleil
Il me fait, coquin, un clin d’œil
Je souris de bonheur
Je chasserai la terreur
Je sais qu’il existe l’Amour
L’amour et toute la tendresse
Que tu as déposés,
Doux comme un baiser
au fond de mon cœur
Ancré à tout jamais.
A quoi ça sert la vie ?
A vivre et à aimer
A donner sans compter
Du bonheur à faire pousser
Dans le cœur des naufragés
Un sourire en partage
Une larme de bonheur
Un baume contre la douleur
Apprendre juste à aimer
La vie même et surtout
S’il fait nuit
Dans tant de cœurs meurtris
Des regards absent du monde des vivants
Il faut si peu de chose
Un mots doux, une rose,
le sourire d’un enfant
Une voix qui appelle,
Un sourire qui donne des ailes
Et la vie arc en ciel illumine
De douceur la nuit qui s’enfuit
Sans un bruit….
morjane
21/09/04
Quand on la voit meurtris
A quoi ça sert de respirer
Puisque tout est pollué
A quoi ça sert d’avancer
Puisque l’on est prisonnier
Dans des tours de carnage
Là où l’air est si glacial
De chaînes si visibles
De pluie de torrents d’acides
De bombes corrosives
Qui rends les cœurs arides
Des déserts d’eaux salées
Qui laissent la gorge brûlée
Tant de larmes noyées
« Tais toi ! Je t’ai dit d’avancer »
Et puis au loin soudain
Me revient un air de jasmin
Je m’élance sans frémir
Est-ce que je dois gémir ?
Posant là contre un arbre
Mes doigts couvert d’échardes
Je caresse l'unique branche
Pliant sous le chagrin
Rien ne la fera rompre
Elle sait qu’elle est la vie
Comme un radeau au milieu de l’océan
Mes pleurs hurlent au vent
Est-ce que cela va s’arrêter ?
Ah ! Oui ne plus jamais souffrir
Ne plus jamais détruire
Ne plus jamais penser
Etre un ruisseau paisible
Un papillon gracile
Etre une fleur de paix
La touche d’humanité
Dans les cœurs à jamais
Et mon regard s’élance vers l’azur
Le ciel est encore si pur
Ce bleu va reposer
Mes yeux si fatigué
A chercher en mon âme
Pourquoi les hommes se damnent
Et je souris au soleil
Il me fait, coquin, un clin d’œil
Je souris de bonheur
Je chasserai la terreur
Je sais qu’il existe l’Amour
L’amour et toute la tendresse
Que tu as déposés,
Doux comme un baiser
au fond de mon cœur
Ancré à tout jamais.
A quoi ça sert la vie ?
A vivre et à aimer
A donner sans compter
Du bonheur à faire pousser
Dans le cœur des naufragés
Un sourire en partage
Une larme de bonheur
Un baume contre la douleur
Apprendre juste à aimer
La vie même et surtout
S’il fait nuit
Dans tant de cœurs meurtris
Des regards absent du monde des vivants
Il faut si peu de chose
Un mots doux, une rose,
le sourire d’un enfant
Une voix qui appelle,
Un sourire qui donne des ailes
Et la vie arc en ciel illumine
De douceur la nuit qui s’enfuit
Sans un bruit….
morjane
21/09/04
Commentaire