Les espoirs arides
Tout un monde autour de moi s’aiguise
Tout un monde loin de moi s’épuise
Je construis mon château de sable
Je plante mon arbrisseau sur la terre des invalides
Je tranche ma part dans le vide
Même si le rêve n’est qu’un rêve
Même si les larmes ne poussent pas des roses
Et je chante ma gloire dans le monde des désarrois
Pour pleurer sur l’enfant du désert
Sur l’enfant de ma fraternité avide
Même si les os de mes semblables se réduisent en albâtre
Des couches d’histoire sur un tableau muet
Tout un monde est mon silence
Quad je parle dans mes errances
La lune se canalise dans un cristal étincelant
Comme si le rêve ne brille pas de ses étincelles
Je prends ma lune dans les miroirs scintillant
Et je plonge dans ce gouffre de pensées archaïques
Quand l’homme fut le terrible authentique
Abandonnez vous rêves et vous conduire dans ce monde
Baissez les yeux sous les flammes des méandres
De la sainteté de tous les noms
J’épuise mon espoir que ce monde n’existe plus
...
Tout un monde autour de moi s’aiguise
Tout un monde loin de moi s’épuise
Je construis mon château de sable
Je plante mon arbrisseau sur la terre des invalides
Je tranche ma part dans le vide
Même si le rêve n’est qu’un rêve
Même si les larmes ne poussent pas des roses
Et je chante ma gloire dans le monde des désarrois
Pour pleurer sur l’enfant du désert
Sur l’enfant de ma fraternité avide
Même si les os de mes semblables se réduisent en albâtre
Des couches d’histoire sur un tableau muet
Tout un monde est mon silence
Quad je parle dans mes errances
La lune se canalise dans un cristal étincelant
Comme si le rêve ne brille pas de ses étincelles
Je prends ma lune dans les miroirs scintillant
Et je plonge dans ce gouffre de pensées archaïques
Quand l’homme fut le terrible authentique
Abandonnez vous rêves et vous conduire dans ce monde
Baissez les yeux sous les flammes des méandres
De la sainteté de tous les noms
J’épuise mon espoir que ce monde n’existe plus
...
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