Blottie dans mes draps bleus, ornés de lunes d'or,
Une douce torpeur ayant gagné mon corps,
J'entendis une voix, qui me disait tout bas :
"Je t'aime mon amour, je ne pense qu'à toi…".
*
J'ouvris lentement les yeux et écoutai, curieuse,
D'où provenaient ces sons, musique mélodieuse,
Mais dans le noir de nuit, je n'entendis plus rien…
Je m'engouffrai alors dans les draps de satin.
*
"Je t'aime mon aimée, tu es ma destinée"…
Ravie mais inquiète par cette mélopée,
Je me levai d'un bond, fis jaillir la lumière,
Je regardai partout, et devant et derrière…
*
Mais il n'y avait rien, il n'y avait personne…
J'avais donc fait un rêve, un joli rêve seulement…
Alors j'eus cette idée, d'ouvrir les deux battants,
De ma grande fenêtre, et sans que je raisonne…
*
Je regardai le ciel et ses milliers d'étoiles,
Je vis la plus brillante qui débutait un nom…
Enfin de ce mystère je soulevai le voile,
Dans cette belle nuit d'encre, était écrit Ton Nom!
*
Je savais maintenant que toi tu me parlais,
Du fond de ton pays, du profond de la nuit,
Tous tes mots, tous tes bruits, oui je les entendais,
Et soudain, moi aussi je poussai un grand cri.
*
Je lançai ton prénom dans l'immensité sombre,
Je dis que je t'aimais aux inquiétantes ombres,
Espérant que les astres brillants comme tes yeux,
Te porteraient ma voix, mon amour et mes vœux.
*
Désormais, chaque nuit, oui je te parlerai,
Je te dirai combien tu es cher à mon cœur…
Et moi aussi, sereine, l'oreille je tendrai,
Pour t'entendre me dire ce qui fait mon bonheur…
*
Je t'aime…
Une douce torpeur ayant gagné mon corps,
J'entendis une voix, qui me disait tout bas :
"Je t'aime mon amour, je ne pense qu'à toi…".
*
J'ouvris lentement les yeux et écoutai, curieuse,
D'où provenaient ces sons, musique mélodieuse,
Mais dans le noir de nuit, je n'entendis plus rien…
Je m'engouffrai alors dans les draps de satin.
*
"Je t'aime mon aimée, tu es ma destinée"…
Ravie mais inquiète par cette mélopée,
Je me levai d'un bond, fis jaillir la lumière,
Je regardai partout, et devant et derrière…
*
Mais il n'y avait rien, il n'y avait personne…
J'avais donc fait un rêve, un joli rêve seulement…
Alors j'eus cette idée, d'ouvrir les deux battants,
De ma grande fenêtre, et sans que je raisonne…
*
Je regardai le ciel et ses milliers d'étoiles,
Je vis la plus brillante qui débutait un nom…
Enfin de ce mystère je soulevai le voile,
Dans cette belle nuit d'encre, était écrit Ton Nom!
*
Je savais maintenant que toi tu me parlais,
Du fond de ton pays, du profond de la nuit,
Tous tes mots, tous tes bruits, oui je les entendais,
Et soudain, moi aussi je poussai un grand cri.
*
Je lançai ton prénom dans l'immensité sombre,
Je dis que je t'aimais aux inquiétantes ombres,
Espérant que les astres brillants comme tes yeux,
Te porteraient ma voix, mon amour et mes vœux.
*
Désormais, chaque nuit, oui je te parlerai,
Je te dirai combien tu es cher à mon cœur…
Et moi aussi, sereine, l'oreille je tendrai,
Pour t'entendre me dire ce qui fait mon bonheur…
*
Je t'aime…
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