De cet horizon je revois mon passé …
Le chemin parcouru et le pays où je suis né …
Je viens de très loin , du pays des milles et une nuits
J'ai mis mes bras au service de ce nouveau maitre
Qui sur moi déverse sa folie perverse
Il veut me soumettre ce petit seigneur qui se vante du saint attaché au pouvoir.
Il n'a pas compris que je suis prêt à rester soumis, seulement envers Dieu.
"Retourne dans ton pays tu es différent"
Impossible, je viens de l'univers, j'ai perdu la route,
Je ne suis pas noir, je ne suis pas blanc, je ne suis pas actif, je ne suis pas fatigué,
Je ne suis pas sain, je ne suis pas fou, je ne suis pas vrai, je ne suis pas faux,
Moi je ne te porte pas la poisse ni la fortune,
Tu m’en veux parce je te pique le travail, je te pique la voiture
Tu dis que je suis moche, que je pue comme un rat mais tu es un semblable a moi
et surtout
tu n'es pas Dieu .
Cela ne me touche pas ta fiction, je pisse sur ta dérision .
Je veux pas l'aumône ,je ne veux pas déranger,
Mais juste une place au soleil
Un coin pour m abriter, de quoi manger !
Cela n'a pas été facile pour moi de me trouver ici,
Un invité inattendu,un poids non désiré, malmené,
Complices les satellites qui reflètent un bien être artificiel,
Lune sous laquelle j aime parler d'amour.
Je me réchauffes dans mes souvenirs,devant un avenir imprévisible
J'ai la nostalgie de ma lune légère brillant sur une mer bleue,
Je me souviens un soir les étoiles d'un drapeau, c'était une ère d’espoir,
Une ère de frontière, le printemps d'une nouvelle vie...
Imbéciles, on nous remplis de berceuses en échange de la survie »
Le fruit d'une chose déjà écrite, sur un livre que tu as déjà lu en entier mais moi,
moi, moi...
Moi je viens d'ailleurs...
Non, je veux pas une proposition malvenue, garde toi ta terre,
Je t'emmène la bas si tu veux, j'en viens de là...
Le genre humain vit la bas ?
Que veux tu que ce soit, et puis, ce n'est pas ma faute si tu es différent de moi ,
Nous vivons juste sous le même clair de lune
Que puis je peut te dire, tu es né ici, moi la bas
Parce qu'ici t’es né d’un humain. En quoi serais tu meilleur ?
Moi je suis né entre lune et nuages, de cela est notre différence
Fais moi cette faveur, témoin, ici il n'y a pas de profit que tu puisses mériter.
Tu es enfermé, mais dans ton état mental,
Moi je suis changeant et expert où cela me plait, car je suis né libre
Tu ne proviens d'aucune nation, moi oui, je viens de la bas...
Ne rêves pas, tu ma dis ma différence alors je sors d ici de ta terre d agonie
Imbéciles, nous te remplissons de berceuses en échange de notre soumission
Et je trouve déplacée la peur d'une culture différente.
En arrivé au point de m'éviter quand on me voit
Je veux pas l'aumône
Mais juste des sourires, des mains tendues
Un peu d'humanité pour ma différence
Gardes ta nation, et moi ma soumission de la bas
Si tu as envie de jouer, ne le fais pas avec ma vie
Car je suis fatigué de trop donné
Et les années sont des instants, la vie m’a changé
Un jour arrive où tu penses à tout ce que tu as raté,
Mais le temps d’attendre, ce temps on ne l’a pas …
Je veux plus d aumône juste vivre et respirer,
Veux plus déranger ni être regardé, je veux juste rire
Ne plus me sentir non désiré....
Le chemin parcouru et le pays où je suis né …
Je viens de très loin , du pays des milles et une nuits
J'ai mis mes bras au service de ce nouveau maitre
Qui sur moi déverse sa folie perverse
Il veut me soumettre ce petit seigneur qui se vante du saint attaché au pouvoir.
Il n'a pas compris que je suis prêt à rester soumis, seulement envers Dieu.
"Retourne dans ton pays tu es différent"
Impossible, je viens de l'univers, j'ai perdu la route,
Je ne suis pas noir, je ne suis pas blanc, je ne suis pas actif, je ne suis pas fatigué,
Je ne suis pas sain, je ne suis pas fou, je ne suis pas vrai, je ne suis pas faux,
Moi je ne te porte pas la poisse ni la fortune,
Tu m’en veux parce je te pique le travail, je te pique la voiture
Tu dis que je suis moche, que je pue comme un rat mais tu es un semblable a moi
et surtout
tu n'es pas Dieu .
Cela ne me touche pas ta fiction, je pisse sur ta dérision .
Je veux pas l'aumône ,je ne veux pas déranger,
Mais juste une place au soleil
Un coin pour m abriter, de quoi manger !
Cela n'a pas été facile pour moi de me trouver ici,
Un invité inattendu,un poids non désiré, malmené,
Complices les satellites qui reflètent un bien être artificiel,
Lune sous laquelle j aime parler d'amour.
Je me réchauffes dans mes souvenirs,devant un avenir imprévisible
J'ai la nostalgie de ma lune légère brillant sur une mer bleue,
Je me souviens un soir les étoiles d'un drapeau, c'était une ère d’espoir,
Une ère de frontière, le printemps d'une nouvelle vie...
Imbéciles, on nous remplis de berceuses en échange de la survie »
Le fruit d'une chose déjà écrite, sur un livre que tu as déjà lu en entier mais moi,
moi, moi...
Moi je viens d'ailleurs...
Non, je veux pas une proposition malvenue, garde toi ta terre,
Je t'emmène la bas si tu veux, j'en viens de là...
Le genre humain vit la bas ?
Que veux tu que ce soit, et puis, ce n'est pas ma faute si tu es différent de moi ,
Nous vivons juste sous le même clair de lune
Que puis je peut te dire, tu es né ici, moi la bas
Parce qu'ici t’es né d’un humain. En quoi serais tu meilleur ?
Moi je suis né entre lune et nuages, de cela est notre différence
Fais moi cette faveur, témoin, ici il n'y a pas de profit que tu puisses mériter.
Tu es enfermé, mais dans ton état mental,
Moi je suis changeant et expert où cela me plait, car je suis né libre
Tu ne proviens d'aucune nation, moi oui, je viens de la bas...
Ne rêves pas, tu ma dis ma différence alors je sors d ici de ta terre d agonie
Imbéciles, nous te remplissons de berceuses en échange de notre soumission
Et je trouve déplacée la peur d'une culture différente.
En arrivé au point de m'éviter quand on me voit
Je veux pas l'aumône
Mais juste des sourires, des mains tendues
Un peu d'humanité pour ma différence
Gardes ta nation, et moi ma soumission de la bas
Si tu as envie de jouer, ne le fais pas avec ma vie
Car je suis fatigué de trop donné
Et les années sont des instants, la vie m’a changé
Un jour arrive où tu penses à tout ce que tu as raté,
Mais le temps d’attendre, ce temps on ne l’a pas …
Je veux plus d aumône juste vivre et respirer,
Veux plus déranger ni être regardé, je veux juste rire
Ne plus me sentir non désiré....
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