Avant elle,
Avant elle, je ne savais rien
De l'amour, des matin bleus
Du parfum des roses,
Des cotons imbibé d'eau.
Avant elle, j'oubliais parfois
A quelle point les femmes
Pouvaient être belles
Des étoiles dans les yeux.
Ce n'est plus une femme,
C'est déjà l'espoir,
D'un papier glacé
D'un sucre d'orge
Avant elle, j'ignorais l'amour
Je le lisait dans les livres
Dans les litanies rouges
Des hommes ivres...
Avant elle, les pianos
Leurs notes lourdes
Annonçais l’automne glacial
Des hommes seul...
Perdu dans la fumé de cigarette
Le front sur la vitre
Dessinant un visage quelconque
Peuplé de chair blanche
Avant elle, seul les mots
De la colère et de la haine
Vidait mon corps de son air
Le remplaçant par du ciment...
Un mot, une phrase a suffit
Pour évacuer mon cœur
Du boulet de la solitude
Me délivré de ma geôle
"Je t'aime", arraché de mon sang
De mon âme, d'un langage inné
Tout les homme dise des je t'aime
Propulsé de leurs os...
Avant elle, je m'ignorais...
Ma capacité au bonheur
Le sons de mes rires
La forme de mes sourires
Mes discutions prosterné a l'aube
Implorant, son retour
Un jet d'oiseau comme une encre
Sur les pages de mon destin.
Puis, je ne parlais plus
Au passé, elle m'a appris
Le présent et le futur,
J'ignorais mais aujourd’hui je sais
Que je l'aime,
Chaarar,
Avant elle, je ne savais rien
De l'amour, des matin bleus
Du parfum des roses,
Des cotons imbibé d'eau.
Avant elle, j'oubliais parfois
A quelle point les femmes
Pouvaient être belles
Des étoiles dans les yeux.
Ce n'est plus une femme,
C'est déjà l'espoir,
D'un papier glacé
D'un sucre d'orge
Avant elle, j'ignorais l'amour
Je le lisait dans les livres
Dans les litanies rouges
Des hommes ivres...
Avant elle, les pianos
Leurs notes lourdes
Annonçais l’automne glacial
Des hommes seul...
Perdu dans la fumé de cigarette
Le front sur la vitre
Dessinant un visage quelconque
Peuplé de chair blanche
Avant elle, seul les mots
De la colère et de la haine
Vidait mon corps de son air
Le remplaçant par du ciment...
Un mot, une phrase a suffit
Pour évacuer mon cœur
Du boulet de la solitude
Me délivré de ma geôle
"Je t'aime", arraché de mon sang
De mon âme, d'un langage inné
Tout les homme dise des je t'aime
Propulsé de leurs os...
Avant elle, je m'ignorais...
Ma capacité au bonheur
Le sons de mes rires
La forme de mes sourires
Mes discutions prosterné a l'aube
Implorant, son retour
Un jet d'oiseau comme une encre
Sur les pages de mon destin.
Puis, je ne parlais plus
Au passé, elle m'a appris
Le présent et le futur,
J'ignorais mais aujourd’hui je sais
Que je l'aime,
Chaarar,
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