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Le mensonge de la liberté !

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  • Le mensonge de la liberté !

    أكذوبة الحرية

    Dernière modification par postra, 30 juin 2012, 01h31.
    Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

  • #2
    Chantons les louanges

    Chantons les louanges
    Des chansons aberrantes
    Et louons les lumières aveuglantes
    Il n’est jamais fini le bonheur en tète
    La rivière époustouflante des mensonges
    Qui trahit l’homme tari de ces messages
    Mais la vie n’est pas une chanson gaie
    C’est qu’une fleure brulante
    Que l’œil aperçoit de sa paroi
    Sans entendre les vraies voix
    Chantons avec les révoltés
    Des temps à la moisson moderne
    La récolte sauvage de l’air cupide
    Raffole la violance et la peur stupide
    Nous voulons d’avantage de stupeur
    D’illusions pour croire au peuple magique
    Qui dégagera le soleil des nuages chaotiques
    Chante mon sieur de paroles libres
    Tu ne tueras point que les âmes perdues
    Qui t’écouterons derrière le soleil noir
    Cette chanson est vague je te la promis
    Comme mes idées plurielles endormis
    Je ne peux les mariés comme le savant fou
    Qui croit plus à sa requête qu’à la nature brute
    Je te parle sur cette page blanche
    Comme l’eau douce d’une rivière sèche
    Ou comme l’ambre fausse
    De la lumière vierge

    Postr@
    Dernière modification par postra, 30 juin 2012, 01h12.
    Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

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    • #3
      a la rencontre du bonheur

      Si un jour je fais la rencontre du bonheur des hommes et pas d’un homme
      Je lui poserai la question d’un homme qui veut en découdre avec la nature et même avec sa nature.
      Rien que pour lui prouver que l’homme sans l’homme n’est peut être pas sa liberté.
      D’un ridicule regard je lui demanderai un instant de bonheur pour tout un peuple qui souffre de la nature et des hommes.
      Le bonheur connaitra son nom par les cris de la soiffe et de la famine.

      Je lui demanderai enfin d’embrasser ces cris sous le soleil brulant pour sentir l’odeur de la chaire des lèvres brulantes d’une mère.
      Qui brule de chaleur morte et de tendresse asséchée.
      La tendresse d’une mère qui écoute la mort de son enfant endormi par la faim
      La chaleur d’une mort lente et douce qui ne fait pas mal comme celle des bombardements.
      La question que je poserai au bonheur, qui es-tu bonheur ?
      Dernière modification par postra, 30 juin 2012, 01h14.
      Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

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      • #4
        postra

        Mais ou trouve tu cette inspiration encore bravo
        et la musique bien choisi avec ton ecris

        je m'incline ....


        Matrix

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