أكذوبة الحرية
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Le mensonge de la liberté !
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Chantons les louanges
Chantons les louanges
Des chansons aberrantes
Et louons les lumières aveuglantes
Il n’est jamais fini le bonheur en tète
La rivière époustouflante des mensonges
Qui trahit l’homme tari de ces messages
Mais la vie n’est pas une chanson gaie
C’est qu’une fleure brulante
Que l’œil aperçoit de sa paroi
Sans entendre les vraies voix
Chantons avec les révoltés
Des temps à la moisson moderne
La récolte sauvage de l’air cupide
Raffole la violance et la peur stupide
Nous voulons d’avantage de stupeur
D’illusions pour croire au peuple magique
Qui dégagera le soleil des nuages chaotiques
Chante mon sieur de paroles libres
Tu ne tueras point que les âmes perdues
Qui t’écouterons derrière le soleil noir
Cette chanson est vague je te la promis
Comme mes idées plurielles endormis
Je ne peux les mariés comme le savant fou
Qui croit plus à sa requête qu’à la nature brute
Je te parle sur cette page blanche
Comme l’eau douce d’une rivière sèche
Ou comme l’ambre fausse
De la lumière vierge
Postr@Dernière modification par postra, 30 juin 2012, 01h12.Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?
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a la rencontre du bonheur
Si un jour je fais la rencontre du bonheur des hommes et pas d’un homme
Je lui poserai la question d’un homme qui veut en découdre avec la nature et même avec sa nature.
Rien que pour lui prouver que l’homme sans l’homme n’est peut être pas sa liberté.
D’un ridicule regard je lui demanderai un instant de bonheur pour tout un peuple qui souffre de la nature et des hommes.
Le bonheur connaitra son nom par les cris de la soiffe et de la famine.
Je lui demanderai enfin d’embrasser ces cris sous le soleil brulant pour sentir l’odeur de la chaire des lèvres brulantes d’une mère.
Qui brule de chaleur morte et de tendresse asséchée.
La tendresse d’une mère qui écoute la mort de son enfant endormi par la faim
La chaleur d’une mort lente et douce qui ne fait pas mal comme celle des bombardements.
La question que je poserai au bonheur, qui es-tu bonheur ?Dernière modification par postra, 30 juin 2012, 01h14.Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?
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