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La rive gauche

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  • La rive gauche

    La rive gauche

    Et comment puis-je oublié
    Et comment puis-je effacé
    Et comment puis-je séché
    Les larmes de l’orphelin
    Et passé comme un passager
    Sans chemin
    Et que j’oublie le rêve de l’été
    Que j’oublie les douleurs de la peur
    Que j’oublie les oranges du village
    Que j’oublie les olives des rives
    Que j’oublie la terre des olives
    Et comme un passager sans chemin
    Sur la route
    Vers l’enfer de la question
    Jusqu’au pouvez-vous croire
    Mes chers inquisiteurs
    En mon ignorance
    En mon manque de confiance
    Dans mon pays
    Dans mes amis
    Dans mon peuple
    Dans mon pays
    Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

  • #2
    postra bonjour
    de la rive ou tu te tiens debout tu as une vue sur ta vie d'antan. meme si des rafales d'eau emportent certains souvenirs, la marée te les raménera à l'aube.
    j'ai bien apprécié ton poeme, mercide le partager avec nous.

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    • #3
      postra

      Bravo emouvant ,tres jolie message contre l'oublie

      Makhlouka

      Tres bonne replique



      Matrix....

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      • #4
        matrix bonjour
        merci.

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        • #5
          Merci bien pour vos commentaires.
          C’est quelques mots qui me venaient ce matin en pensants aux enfants refugiés palestiniens qui vivent une enfance et une jeunesse très exceptionnelle sous le ciel de ce monde…
          Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

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          • #6
            postra
            je pensais que tu parlais de toi-meme.
            les enfants de Palestine ne garderont que de mauvais souvenirs de leur enfance, des souvenis traumatisants, souhaitons-leur un avenir meiileur.

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            • #7
              je pensais que tu parlais de toi-meme.
              Ce n’est pas grave, un poème n’est jamais explicite, il n’existe pas une frontières émotionnelle entre nos sentiments, de moi ou des enfants palestiniens nous sommes humains sensé ressentir ces choses. Comme ils peuvent sentir le bonheur d’autres enfants et l’espéré nous pouvons sentir la souffrance.
              Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

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              • #8
                postra
                Il ne faut pas toujours tout oublié ça participe au futur et je suis d'accord avec toi quand tu dis "un poème n'est jamais explicite..."
                Très joli texte postra merci pour le partage
                **Souvent imitée jamais égalée **
                Mi ange - Mi démon

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                • #9
                  Merci bien. Et je dirais sur l’oubli

                  Si des fois l’oublie est une guérison
                  Les blessures se cicatrisent aussi
                  Mais comment trouver la bonne raison
                  Pour pouvoir tout effacer
                  Comme si rien n’a jamais put marquer
                  Les pages de son histoire d’ancres un peu différentes
                  Les blessures s’effacent avec le temps
                  Mais le temps ne peut guère effacer les dividendes
                  Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

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                  • #10
                    Et je rajouterai sur l’oubli

                    Si je rempile les morceaux de ma mémoire
                    Une souffrance me tourmente
                    Car à chaque passage de vent
                    Dans ces champs de liesses d’invasions
                    Des souvenirs noirs subsistent
                    Des tas d’histoires de violence noir
                    De déceptions qui m’ont chagriné
                    Des espoirs qui m’ont fasciné
                    Qui se brisent aussitôt gangrené
                    Par des tas d’histoires de rancune
                    Des mots des actes et des lacunes
                    Alors pour le bon sage aveugle
                    Sous un arbre fertile
                    Ne pas voir le jour subtil
                    Est une donation du ciel
                    Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

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