Chante-moi une berceuse douce
Pour que la journée passe en douce
J’ai plus la force des jours pour me battre contre l’ennuie
Les gens que j’aime sont de plus en plus loin
On ne se voit presque jamais et de loin en loin
Le jour se lève on se dit bonjour
Pour aller au travail ou pour faire le mur
Sur la route des gens sont égarés
Ne croient plus à notre épopée
Ils se posent la question s’ils doivent
Aller de l’avant ou vert l’arrière
C’est encore mieux si de travers
Aucune chanson ne leur donne foi
Sur la bonne direction une bonne fois
Les lumières s’éteignent quand vient la nuit
Sur nos soucis qui se rafraichissent
Chacun pense à ses dettes et ses ennuis
Sous les couvertures l’amour n’a plus la cote
Chante-moi une berceuse pour dormir
Les yeux rougissent de ne pas gémirent
J’ai rencontré aujourd’hui sur mon chemin
Un vagabond qui parlait d’un meilleur lendemain
Alors qu’il ne savait pas où dormir le soir
J’ai rencontré un bûcheron au bord des larmes
Voyons que la forêt n’a plus aucun arbre
Il se demandait s’il fallait planter après avoir coupé
Le temps est passé et il n’a rien fait
Il me disait que planter des arbres
Ce n’est pas dans sa vocation de bûcheron
Les olives qui ne sont pas récolté
Sont la part des oiseaux et autres insectes
Point de chose prévue dans la vie
Font le bonheur de tout un monde
J’ai rencontré un homme sans force
Qui combat sa maladie depuis des lustres
Il me dit que les temps sont légers
Quand on compte plus les jours de la semaine
Du matin au soir les heures se ressembles
Comme celle dessinés sur les pendules
L’aiguille passe et repasse sur le même chiffre
Mais le temps emporte avec lui chacun de nos sourires
Pour l’enfouir à jamais dans les méandres d’un passé
Comme le vent qui n’existe plus après passage
Ces mots sont petit pour toi mon grand
Si un jour Dieu me soigne je ferais des petits
Pour leurs apprendre comment guérir les douleurs
Pour que la journée passe en douce
J’ai plus la force des jours pour me battre contre l’ennuie
Les gens que j’aime sont de plus en plus loin
On ne se voit presque jamais et de loin en loin
Le jour se lève on se dit bonjour
Pour aller au travail ou pour faire le mur
Sur la route des gens sont égarés
Ne croient plus à notre épopée
Ils se posent la question s’ils doivent
Aller de l’avant ou vert l’arrière
C’est encore mieux si de travers
Aucune chanson ne leur donne foi
Sur la bonne direction une bonne fois
Les lumières s’éteignent quand vient la nuit
Sur nos soucis qui se rafraichissent
Chacun pense à ses dettes et ses ennuis
Sous les couvertures l’amour n’a plus la cote
Chante-moi une berceuse pour dormir
Les yeux rougissent de ne pas gémirent
J’ai rencontré aujourd’hui sur mon chemin
Un vagabond qui parlait d’un meilleur lendemain
Alors qu’il ne savait pas où dormir le soir
J’ai rencontré un bûcheron au bord des larmes
Voyons que la forêt n’a plus aucun arbre
Il se demandait s’il fallait planter après avoir coupé
Le temps est passé et il n’a rien fait
Il me disait que planter des arbres
Ce n’est pas dans sa vocation de bûcheron
Les olives qui ne sont pas récolté
Sont la part des oiseaux et autres insectes
Point de chose prévue dans la vie
Font le bonheur de tout un monde
J’ai rencontré un homme sans force
Qui combat sa maladie depuis des lustres
Il me dit que les temps sont légers
Quand on compte plus les jours de la semaine
Du matin au soir les heures se ressembles
Comme celle dessinés sur les pendules
L’aiguille passe et repasse sur le même chiffre
Mais le temps emporte avec lui chacun de nos sourires
Pour l’enfouir à jamais dans les méandres d’un passé
Comme le vent qui n’existe plus après passage
Ces mots sont petit pour toi mon grand
Si un jour Dieu me soigne je ferais des petits
Pour leurs apprendre comment guérir les douleurs


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