Ah! L’Amour
Je t’aimais d’un seul regard
Malgré mes habits de clochard.
Divinité de ton sourire majestueux
A mon corps blessé, souffreteux.
Je t’adorais d’une mélodie sensible,
D’une voix douce, presque audible.
Une silhouette charmante, veloutée,
Des sens intelligents, éveillés.
Je percevais tes émotions secrètes,
Tes moindres pensées indiscrètes,
Une beauté infinie par le vent,
De la jouissance de son affluent.
Je mendiais un léger baiser,
Une salive de ses lèvres parfumées.
Un fou qui hante son esprit liégeux
A la mesure d’un amour, d’un jeu.
Je devenais le prince chevaleresque
Chassant mes nuit cauchemardesques
Dans un rire satisfait, habitué
Aux rêves éblouis d’une bien-aimée.
Je t’aimais d’un seul regard
Malgré mes habits de clochard.
Divinité de ton sourire majestueux
A mon corps blessé, souffreteux.
Je t’adorais d’une mélodie sensible,
D’une voix douce, presque audible.
Une silhouette charmante, veloutée,
Des sens intelligents, éveillés.
Je percevais tes émotions secrètes,
Tes moindres pensées indiscrètes,
Une beauté infinie par le vent,
De la jouissance de son affluent.
Je mendiais un léger baiser,
Une salive de ses lèvres parfumées.
Un fou qui hante son esprit liégeux
A la mesure d’un amour, d’un jeu.
Je devenais le prince chevaleresque
Chassant mes nuit cauchemardesques
Dans un rire satisfait, habitué
Aux rêves éblouis d’une bien-aimée.
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