Dernière offrande
Au dela des lieux,au dela des troubles,à la nuit des asperges,j'ai marché dans le silence chantais en exergue des rives des cieux;dans le virtuel j'ai découvert une trêve,un moment de paix flou comme la brume qui m'emporte dans sa frénétique ronde.La plume a couchée des lettres de larmes et de reves,pour incarner toutes les douleurs une seule flamme,l'amour...
Mirage, réflexion observable, densité inégale image, foi de réalité,Leil existe.Mi-ange mis démon,entre le réel et le virtuel,voltige... Je ne sais si je suis plagiaire,poètesse ou simple narratrice,certes c'est moi qui écris .....pourtant,je sens en moi,des millions de voix,un seul cri ........mais comme une faute de frappe sur papier à en tête,comme un champ de ruines,je jette aux oubliettes,et le martyre du clavier fini dans le fond d'une mémoire comme un vulgaire brouillon d'un amour en carbone!!
Qu'importe que mes textes pourrissent dans les tiroirs,ne passe pas à la radio,ne paraissent pas dans les journaux,qu'importe que la vulgarité rie de moi,que d'autres me prennent pour une folle,une illuminée,une attardée,une sentimentale en mal de romantisme,une marginale,une laisser pour compte une solitaire,un franc tireur,une...une...une..........et j'en passe....tout en revenant,qu'importe d'être indexée d'élément réactionnaire par un monde imbue de préjugés,rétrogradé et réfractaire à toute connaissance pure,qu'importe de ne pas savoir trébucher,de ne pas avoir une belle diction,d'être une rêveuse du pavé,un diplôme de l'école du trottoir,qu'importe quand le silence est loi en vigueur dans des verités qui se cachent ailleurs..au dela du temps et des lieux. Il faut juste partir vers cet ailleurs pour ne point perir dans l'anorexie de l'absurde du souvenir,pour que mots se melangent avec l'ame de l'ame et tenter de rattraper l'absence et le vide,meme larmes,et en attendant le salut j'irais,me noyer dans le désert,à la recherche de mon oasis et là où la pluie ne tombe jamais,il est vain,je crois, de vouloir me trouver,J'arroserai le sable de ces quelques sanglots,mais ne poussera rien d'autre que cet écho. La trace de mes pas s'effaceront peu à peu a mesure que le vent ne soufflera plus mes aveux et sagement endormie dans le frais de la nuit,Leil,calme comme la gazelle du sahara ou d'Arabie
n'aurai rien à craindre de partir.....
Mes mots décryptent les melodies d'absence,lient les silences diure,forgent
un reve sauvage,puis s'assoient juste ici pour que le soleil soit temoin de la folie de ce coeur et de cette dance ruisselante...regard taciturne sourire deboisé marche déboussolée,je m'invente encore un horizon en agonie pour chanter autrement dans un monde à moi, ou je veux aneantir mon ombre pour cessent mes nuits petite vie qui s'affole vers ailleurs s'envole ....
Mais avant de partir,il ne faut guere se presser,avant de quitter on ne se precipite pas,meme si l'ultime depart est inévitable,l'ame insatiable chante encore,elle se fait intermede pour piler le sort ou au moins savourer les derniers moments qui s'effritent avant d'aller plus loin et reprendre le meme refrain,le meme hymne
.... pour me nichée dans ses bras bercée par la magie d'el kahina et de Youghourta,j'écouterais dans son silence l'echos de mes souvenirs,caressée par les murmures d'un amour innocent...au parfum dans son étreinte,mon âme s'éteint dans un sanglot,au lointain ........la bas,l'eau qui ruisselle sur mes joues sont des gouttes s'écoulant comme un landau de soie gisant sur un mirage au triste visage pour continuer à l'aimer à genoux, les mains jointes,à ma seule loi,jusqu'a ce que l'aube se pointe......les saphirs durs et froids,voilés de la belle,de l’orgueilleuse chair,ressemblent à ces yeux d'où jaillissent le bleus,rayons silencieux, de la berbère à mille feux inquiétants clairs d'un soir chaud, sans nuée.........Dans la pureté de ses yeux,que nul souffle encore n'a ternie,luit un étang mystérieux,où gemie une blessure infinie.
Dans l'étang bleu de ses yeux dort une fraîcheur délicieuse,adorable serait la mort en leur clarté silencieuse!et son âme Mirage au parfum troublant,sa grande âme que l'on devine est aussi comme un bouquet blanc fleuri dans la serre divine .Maux brodés tendrement,dignes de leil à said,en fait un serment,médaille pour mon amour et pour ma terre natale,mes mots s'envolent dans les cieux,et dans mon coeur,mon médaillon riche de secrets,à jamais scellé par ma bougie,mon berceau,ma liberté....
Si ce soir j'ai ouvert mes souvenirs c'est pour mieux retomber dans neant,Il parait qu'on est jamais mieux que chez soit.J'ai trouvé ma demeure elle est loin de cette terre,entre le ciel et l'enfer là ou le calme règne,nul besoin de témoin mon départ est intime,ne me regarde pas,ne me juge pas,je ne me donne pas la mort je lui rend simplement ma plume.............
Ciel flamboyant,vent du sud,triste climat,temps broyé,je stagne la pour amadouer un dernier souvenir et reprendre mon souffle et amonceler l'etre fragments,un songe si grand se dessine et l'aube m'appelle à Essakane,ou toi l'tranger,tu me servira mon premier verre de thé amère comme les tamashek gravés sur la pierre,assouf,chants solitaires cachés dans les dunes ergs du tassili des hajjer,pour nous rappeler combien la vie est éphémère.Dure combat au quotidien le regard au loin se perd ....sans se laisser terrasser ni piétine,la vie reste un perpétuel dilemme,incessant défi. ...
Tu m'offrira le deuxième sous le palmier millénaire,ou se mélange le subtil parfum de la taguella tiède au arôme de l'anghnagh au senteur fraiche de mes souvenirs,brèche temporelle dans mon espace vie.....Amitié pour toi l'inconnu,qui a ravivé un passé qui me transporte au berceau de mon amour,fragile équilibre fil d Ariane,dans mon coeur une femme chante un amour mort ,exécution au aurores dans les djermania de ouled amara Chantre de mon chaoui ,Aissa Al Djarmouni son aïeul,ténor des Aurès qui a fait vibrer au dela des chaines "ya Hadda Khouiti ma t'gouliche ikhaf" au delà des frontières "Ain Al karma" sublime.....,hymne légendaire ,chant d'amour à Sidi Reghis,moul achéche en a fait son éternel sanctuaire......templier,gardien il demeure continuel....
Je déposerais enfin mon bagage à Imma Djoua,soeur de Yemma Gouraya.A Aït Mimoun,je t'offrirai à mon tour l'hospitalité dans la zawia des ancêtres au pied de la fontaine millenaire ....le troisième verre ,tu me le servira dans la grotte d’Afalou...Othmane Bali,Khelifi Ahmed,Aissa Djermouni,Bagarre Hadda,Cheikh Sadek El Béjaoui,chérif khaddem,seront de la fête.......
tout mes mondes se fusionnent et sans craindre la montagne et la mer, la solitude et la désert,je redécouvre cet enfant à la musique fugitive de son espoir,à l’universel parfum des trois saveurs,unique unit dans ma mémoire..., je me laisse doucement guider,vers la vie,l'amour,la mort,cycle perpétuel de l existence humaine...
Il est des choses qui se disent et d'autres qu'on tait,des maux qu'on ecrit,d'autres qu'on efface,des visages qu'on devoile d'autres qu'on cache.....l'errance meme si elle a du bon risque de nous perdre ....si on ne fait garde !!!
Dans cet entre-deux, déchirant par moment,structurant à d'autres, chacun demeure le maître du sens, en son plus profond silence... en un silence qui panse...
Silence? Pour la psy éloquence...et le psychiatre démence ...Pour l'âme blessée, vengeance...les amoureux, la distance...mais le sage y pense...le penseur y présage.....pour le lucide, l'intelligence..et le créateur,souffle de l'évidence...et c'est aux heures des ces silences un coin de ciel bleu,un soleil chaleureux,apparait alors,la place d'un sourire semble miraculeuse,je m'aperçois que ce sourire est bien possible n'en déplaise aux chantres de l'apocalypse,car chaque jour je contemple avec amour...m'y reconnais dans le lait même berceau et mêmes maux...tends de soi le meilleur et ne rien en attendre...du cœur battant les pleurs peuvent tarir...
S'aimer pérenne la justesse de mots de mes maux je suis,nuls sacrifices simplement d'eux bénissent la vie et l'envie pour que regards et mains se rejoignent en l'humain avançant sur le m'aime chemin scandant le même refrain...tolérance et espérance en commun offrande ...D'yeux que j'aime l'humain...malgré tout
Il est de si précieuses réalités, de si puissantes imprégnations d'un sublime réel, ,meme qui fait mal
qu'il suffit du silence sacré pour en connaitre toute la magie...des verbes et des maux...
Écoutes simplement cette réalité ...à la mort pour m'yeux voir la Vie! Ceci ne m'appartient plus...desormais
Leila
Au dela des lieux,au dela des troubles,à la nuit des asperges,j'ai marché dans le silence chantais en exergue des rives des cieux;dans le virtuel j'ai découvert une trêve,un moment de paix flou comme la brume qui m'emporte dans sa frénétique ronde.La plume a couchée des lettres de larmes et de reves,pour incarner toutes les douleurs une seule flamme,l'amour...
Mirage, réflexion observable, densité inégale image, foi de réalité,Leil existe.Mi-ange mis démon,entre le réel et le virtuel,voltige... Je ne sais si je suis plagiaire,poètesse ou simple narratrice,certes c'est moi qui écris .....pourtant,je sens en moi,des millions de voix,un seul cri ........mais comme une faute de frappe sur papier à en tête,comme un champ de ruines,je jette aux oubliettes,et le martyre du clavier fini dans le fond d'une mémoire comme un vulgaire brouillon d'un amour en carbone!!
Qu'importe que mes textes pourrissent dans les tiroirs,ne passe pas à la radio,ne paraissent pas dans les journaux,qu'importe que la vulgarité rie de moi,que d'autres me prennent pour une folle,une illuminée,une attardée,une sentimentale en mal de romantisme,une marginale,une laisser pour compte une solitaire,un franc tireur,une...une...une..........et j'en passe....tout en revenant,qu'importe d'être indexée d'élément réactionnaire par un monde imbue de préjugés,rétrogradé et réfractaire à toute connaissance pure,qu'importe de ne pas savoir trébucher,de ne pas avoir une belle diction,d'être une rêveuse du pavé,un diplôme de l'école du trottoir,qu'importe quand le silence est loi en vigueur dans des verités qui se cachent ailleurs..au dela du temps et des lieux. Il faut juste partir vers cet ailleurs pour ne point perir dans l'anorexie de l'absurde du souvenir,pour que mots se melangent avec l'ame de l'ame et tenter de rattraper l'absence et le vide,meme larmes,et en attendant le salut j'irais,me noyer dans le désert,à la recherche de mon oasis et là où la pluie ne tombe jamais,il est vain,je crois, de vouloir me trouver,J'arroserai le sable de ces quelques sanglots,mais ne poussera rien d'autre que cet écho. La trace de mes pas s'effaceront peu à peu a mesure que le vent ne soufflera plus mes aveux et sagement endormie dans le frais de la nuit,Leil,calme comme la gazelle du sahara ou d'Arabie
n'aurai rien à craindre de partir.....
Mes mots décryptent les melodies d'absence,lient les silences diure,forgent
un reve sauvage,puis s'assoient juste ici pour que le soleil soit temoin de la folie de ce coeur et de cette dance ruisselante...regard taciturne sourire deboisé marche déboussolée,je m'invente encore un horizon en agonie pour chanter autrement dans un monde à moi, ou je veux aneantir mon ombre pour cessent mes nuits petite vie qui s'affole vers ailleurs s'envole ....
Mais avant de partir,il ne faut guere se presser,avant de quitter on ne se precipite pas,meme si l'ultime depart est inévitable,l'ame insatiable chante encore,elle se fait intermede pour piler le sort ou au moins savourer les derniers moments qui s'effritent avant d'aller plus loin et reprendre le meme refrain,le meme hymne
.... pour me nichée dans ses bras bercée par la magie d'el kahina et de Youghourta,j'écouterais dans son silence l'echos de mes souvenirs,caressée par les murmures d'un amour innocent...au parfum dans son étreinte,mon âme s'éteint dans un sanglot,au lointain ........la bas,l'eau qui ruisselle sur mes joues sont des gouttes s'écoulant comme un landau de soie gisant sur un mirage au triste visage pour continuer à l'aimer à genoux, les mains jointes,à ma seule loi,jusqu'a ce que l'aube se pointe......les saphirs durs et froids,voilés de la belle,de l’orgueilleuse chair,ressemblent à ces yeux d'où jaillissent le bleus,rayons silencieux, de la berbère à mille feux inquiétants clairs d'un soir chaud, sans nuée.........Dans la pureté de ses yeux,que nul souffle encore n'a ternie,luit un étang mystérieux,où gemie une blessure infinie.
Dans l'étang bleu de ses yeux dort une fraîcheur délicieuse,adorable serait la mort en leur clarté silencieuse!et son âme Mirage au parfum troublant,sa grande âme que l'on devine est aussi comme un bouquet blanc fleuri dans la serre divine .Maux brodés tendrement,dignes de leil à said,en fait un serment,médaille pour mon amour et pour ma terre natale,mes mots s'envolent dans les cieux,et dans mon coeur,mon médaillon riche de secrets,à jamais scellé par ma bougie,mon berceau,ma liberté....
Si ce soir j'ai ouvert mes souvenirs c'est pour mieux retomber dans neant,Il parait qu'on est jamais mieux que chez soit.J'ai trouvé ma demeure elle est loin de cette terre,entre le ciel et l'enfer là ou le calme règne,nul besoin de témoin mon départ est intime,ne me regarde pas,ne me juge pas,je ne me donne pas la mort je lui rend simplement ma plume.............
Ciel flamboyant,vent du sud,triste climat,temps broyé,je stagne la pour amadouer un dernier souvenir et reprendre mon souffle et amonceler l'etre fragments,un songe si grand se dessine et l'aube m'appelle à Essakane,ou toi l'tranger,tu me servira mon premier verre de thé amère comme les tamashek gravés sur la pierre,assouf,chants solitaires cachés dans les dunes ergs du tassili des hajjer,pour nous rappeler combien la vie est éphémère.Dure combat au quotidien le regard au loin se perd ....sans se laisser terrasser ni piétine,la vie reste un perpétuel dilemme,incessant défi. ...
Tu m'offrira le deuxième sous le palmier millénaire,ou se mélange le subtil parfum de la taguella tiède au arôme de l'anghnagh au senteur fraiche de mes souvenirs,brèche temporelle dans mon espace vie.....Amitié pour toi l'inconnu,qui a ravivé un passé qui me transporte au berceau de mon amour,fragile équilibre fil d Ariane,dans mon coeur une femme chante un amour mort ,exécution au aurores dans les djermania de ouled amara Chantre de mon chaoui ,Aissa Al Djarmouni son aïeul,ténor des Aurès qui a fait vibrer au dela des chaines "ya Hadda Khouiti ma t'gouliche ikhaf" au delà des frontières "Ain Al karma" sublime.....,hymne légendaire ,chant d'amour à Sidi Reghis,moul achéche en a fait son éternel sanctuaire......templier,gardien il demeure continuel....
Je déposerais enfin mon bagage à Imma Djoua,soeur de Yemma Gouraya.A Aït Mimoun,je t'offrirai à mon tour l'hospitalité dans la zawia des ancêtres au pied de la fontaine millenaire ....le troisième verre ,tu me le servira dans la grotte d’Afalou...Othmane Bali,Khelifi Ahmed,Aissa Djermouni,Bagarre Hadda,Cheikh Sadek El Béjaoui,chérif khaddem,seront de la fête.......
tout mes mondes se fusionnent et sans craindre la montagne et la mer, la solitude et la désert,je redécouvre cet enfant à la musique fugitive de son espoir,à l’universel parfum des trois saveurs,unique unit dans ma mémoire..., je me laisse doucement guider,vers la vie,l'amour,la mort,cycle perpétuel de l existence humaine...
Il est des choses qui se disent et d'autres qu'on tait,des maux qu'on ecrit,d'autres qu'on efface,des visages qu'on devoile d'autres qu'on cache.....l'errance meme si elle a du bon risque de nous perdre ....si on ne fait garde !!!
Dans cet entre-deux, déchirant par moment,structurant à d'autres, chacun demeure le maître du sens, en son plus profond silence... en un silence qui panse...
Silence? Pour la psy éloquence...et le psychiatre démence ...Pour l'âme blessée, vengeance...les amoureux, la distance...mais le sage y pense...le penseur y présage.....pour le lucide, l'intelligence..et le créateur,souffle de l'évidence...et c'est aux heures des ces silences un coin de ciel bleu,un soleil chaleureux,apparait alors,la place d'un sourire semble miraculeuse,je m'aperçois que ce sourire est bien possible n'en déplaise aux chantres de l'apocalypse,car chaque jour je contemple avec amour...m'y reconnais dans le lait même berceau et mêmes maux...tends de soi le meilleur et ne rien en attendre...du cœur battant les pleurs peuvent tarir...
S'aimer pérenne la justesse de mots de mes maux je suis,nuls sacrifices simplement d'eux bénissent la vie et l'envie pour que regards et mains se rejoignent en l'humain avançant sur le m'aime chemin scandant le même refrain...tolérance et espérance en commun offrande ...D'yeux que j'aime l'humain...malgré tout
Il est de si précieuses réalités, de si puissantes imprégnations d'un sublime réel, ,meme qui fait mal
qu'il suffit du silence sacré pour en connaitre toute la magie...des verbes et des maux...
Écoutes simplement cette réalité ...à la mort pour m'yeux voir la Vie! Ceci ne m'appartient plus...desormais
Leila

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