Quand Croque-madame gave Croque-monsieur

[nedjmala]

...

surtout en attendant qui vous savez sans l'emporter,...

Salam, merci...

[Makhlouka]

nedjmala
c'est grave d'emporter quelque chose ou d'emmener quelqu'un qu'on ne connait pas. Rire.

[elfamilia]

Makhlouka,

Par "stupéfait", je veux dire que je suis frappé par la profondeur de ton texte. J'y vois du Kafka, du Proust, du Simone Weil...

Par parabole, je veux dire une allégorie qui inspire.

Je répète : c'est un tableau artistique que tu nous peins.

Chapeau l'artiste !

[nedjmala]

...

pas si grave, parfois même plutôt cool, tout dépend si cela est bien dosé et puis si ce n'est pas trop lourd, à digérer, connaître c'est une autre histoire pour qui s'en donne l'occasion et le temps d'apprécier, ce n'est tout de même pas des plumes inconnues qui s'invitent tous les jours de la sorte...

Salam, merci...

[glorious]

makhlouka bravo ....c'est formidable ..

[Makhlouka]

elfamilia
Proust, Kafka, Simone Veil, je me réserve un fauteuil à l'Académie francaise dés ce soir. Rire. trop d'honneur pour moi, merci.


nedjmala
je suis d'accord: quand on se donne le temps de connaitre et d'apprécier, les choses passent plus facilement et les personnes sont accueillies à bras ouverts.
'la plume écrit ce que les hommes n'osent pas dire', c'est une phrase que j'ai lue quelque part sur la toile.
elle s'invite plus facilement que la parole.


glorious
merci à toi

[elfamilia]

Makhlouka,

Si ce n'est pas déjà fait, je t'invite à lire Proust et son histoire avec le téléphone; Kafka et l'histoire du compagnard qui attend devant la porte de la loi; et enfin le poème de Weil "La porte", et tu me diras...

Ps. Simone Weil, à ne pas confondre avec Simone Veil. C'en est une autre. (Je viens moi-même de les confondre)

[Makhlouka]

elfamilia
je ne connais pas le poeme de Weil. je vais faire une recherche. merci

[Madjidrn]

Merci Makhlouka pour ce querelle entre femme et homme.

[Madjidrn]

« Parfois, la vie nous permet de croiser le chemin de personnes formidables, puis il suffit d’échanger quelques mots pour comprendre qu’elles ne sont pas comme les autres et qu’elles nous seront vite indispensables. »
Proverbe.