Ton œil est-il blessé ? Est-il malade ?
Ou bien épanche-t-il ses larmes quand tu es seule à la maison ?
Oui ! Mon œil, à son souvenir, déborde
Et mes joues sont baignées de pleurs.
Pleure sur Ṣaḫr, ô source de mes larmes !
Entre lui et nous un rideau de terre est tiré. »
Est-ce une poussière dans ton œil ?
Est-ce une douleur ?
Ou verse-t-il des pleurs
À cause d’une demeure
Vide de ses habitants ?
Mes yeux ressemblent,
Quand son souvenir m’effleure,
À des torrents ruisselant
Sur mes joues.
Secouée par les sanglots
L’affligée privée de son frère
Pleure Çakhr tandis qu’un écran de terre
Fraîchement retournée
Le sépare d’elle à jamais. »
Est-ce un fétu de paille ? est-ce une maladie qui est dans mon œil ? ou bien est-ce la maison veuve de ses habitants qui me fait verser des pleurs ?
Lorsque je l’entends mentionner (mon frère), il semble que mon œil répand des torrents de larmes qui ruissellent sur mes joues…
Elle pleure Sakhr, l’affligée privée de son frère que vient de cacher comme un voile la poussière de la tombe. »
Est-ce une chassie, dans ton œil, ou une lésion, ou bien pleure-t-il lorsque la maison est déserte ?
Quand son souvenir se présente on dirait que les pleurs sont un torrent qui déborde et inonde mes joues !
Elle pleure Çakhr, celle qui pleure, le cœur brisé ! Entre lui et nous est un rideau de terre fraîche ! »
Est-ce un fétu, est-ce une maladie qui m’irrite les yeux ? ou bien tombent-elles mes larmes parce que notre demeure est veuve de ses enfants ?
Hélas ! celle qui verse ces pleurs cuisants, pleure un frère qu’elle a perdu ; entre elle et lui est jeté désormais un voile : la terre récente de la tombe.
AL-KHANSA' ......
J'ai lu ,j'ai aimé ,je partage ...
Matrix....
Ou bien épanche-t-il ses larmes quand tu es seule à la maison ?
Oui ! Mon œil, à son souvenir, déborde
Et mes joues sont baignées de pleurs.
Pleure sur Ṣaḫr, ô source de mes larmes !
Entre lui et nous un rideau de terre est tiré. »
Est-ce une poussière dans ton œil ?
Est-ce une douleur ?
Ou verse-t-il des pleurs
À cause d’une demeure
Vide de ses habitants ?
Mes yeux ressemblent,
Quand son souvenir m’effleure,
À des torrents ruisselant
Sur mes joues.
Secouée par les sanglots
L’affligée privée de son frère
Pleure Çakhr tandis qu’un écran de terre
Fraîchement retournée
Le sépare d’elle à jamais. »
Est-ce un fétu de paille ? est-ce une maladie qui est dans mon œil ? ou bien est-ce la maison veuve de ses habitants qui me fait verser des pleurs ?
Lorsque je l’entends mentionner (mon frère), il semble que mon œil répand des torrents de larmes qui ruissellent sur mes joues…
Elle pleure Sakhr, l’affligée privée de son frère que vient de cacher comme un voile la poussière de la tombe. »
Est-ce une chassie, dans ton œil, ou une lésion, ou bien pleure-t-il lorsque la maison est déserte ?
Quand son souvenir se présente on dirait que les pleurs sont un torrent qui déborde et inonde mes joues !
Elle pleure Çakhr, celle qui pleure, le cœur brisé ! Entre lui et nous est un rideau de terre fraîche ! »
Est-ce un fétu, est-ce une maladie qui m’irrite les yeux ? ou bien tombent-elles mes larmes parce que notre demeure est veuve de ses enfants ?
Hélas ! celle qui verse ces pleurs cuisants, pleure un frère qu’elle a perdu ; entre elle et lui est jeté désormais un voile : la terre récente de la tombe.
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