l'espoir succombe à ses blessures dans l'agonie,
mais je ne veux pas que s'enraye l'hemoragie
laissons s’enfuir les maux pesants de cette entaille
préférons des couleurs nouvelles à la grisaille
Oui je sais bien,
qu'aucun mot ne pourra apaiser ton chagrin,
et je crains,
que les miens donnent à tes sanglots plus d'entrain
mais il le faut bien.
tes yeux rougis laissent échapper une poësie
qui ruissèle au gré de tes pommettes arrondies
que cette ondée sur ton visage puisse moderer
les tourments que le temps demain viendra gommer
la confusion et l'amertume au quotidien
auront raison de nos dépits et de nos liens.
mais je ne veux pas que s'enraye l'hemoragie
laissons s’enfuir les maux pesants de cette entaille
préférons des couleurs nouvelles à la grisaille
Oui je sais bien,
qu'aucun mot ne pourra apaiser ton chagrin,
et je crains,
que les miens donnent à tes sanglots plus d'entrain
mais il le faut bien.
tes yeux rougis laissent échapper une poësie
qui ruissèle au gré de tes pommettes arrondies
que cette ondée sur ton visage puisse moderer
les tourments que le temps demain viendra gommer
la confusion et l'amertume au quotidien
auront raison de nos dépits et de nos liens.
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