... Un autre poème de notre ami ZACMAKO... que je salue...
Le poète et le...plagiat.
Le poète se sert de son sang lorsque lui manque l’encre,
Car seule sa plume apaisera les blessures et les chancres.
Et si le sang venait à sécher, il puiserait dans ses larmes;
L’écriture étant pour lui, la plus infaillible des armes.
Il se confie à la feuille comme on le ferait à un ami intime
Parfois en dialogue, parfois en prose et souvent en rimes,
Il arrive qu’il offre des remèdes aux dépourvus de plume
Et qui souhaitent apaiser les maux que la douleur allume.
Le poète écrit des messages d’amitié, d’amour ou de paix
Mais voilà que certains viennent sans scrupules les usurper
Par un abject petit plagiat malséant, médiocre et inutile
Alors qu’écrire et innover soi même est bien plus subtil.
Depuis que le monde est monde, il existe des parasites
C’est encore plus facile de nos jours avec tous ces sites.
Mais depuis quand la caravane, lorsqu’elle venait à passer,
Perçoit-elle les chiens qui aboient et qui semblent la chasser ?
25/002/2009

Le poète et le...plagiat.
Le poète se sert de son sang lorsque lui manque l’encre,
Car seule sa plume apaisera les blessures et les chancres.
Et si le sang venait à sécher, il puiserait dans ses larmes;
L’écriture étant pour lui, la plus infaillible des armes.
Il se confie à la feuille comme on le ferait à un ami intime
Parfois en dialogue, parfois en prose et souvent en rimes,
Il arrive qu’il offre des remèdes aux dépourvus de plume
Et qui souhaitent apaiser les maux que la douleur allume.
Le poète écrit des messages d’amitié, d’amour ou de paix
Mais voilà que certains viennent sans scrupules les usurper
Par un abject petit plagiat malséant, médiocre et inutile
Alors qu’écrire et innover soi même est bien plus subtil.
Depuis que le monde est monde, il existe des parasites
C’est encore plus facile de nos jours avec tous ces sites.
Mais depuis quand la caravane, lorsqu’elle venait à passer,
Perçoit-elle les chiens qui aboient et qui semblent la chasser ?
25/002/2009



céane délecte d'un poète partit au loin dans les temps et les absents...le poète se court de son être lorsque lui manque l'air car seule sa plume éclairera les reliures et les terres. Et si l'air venait à briller, il puiserait dans ses heures, doumourra étant pour lui la seule comme une fleur... … …
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