où les sourires étaient faciles, où la joie de vivre régnait et rien pas même la tombé de ce rideau noir qu'on appel la nuit ne chassait, il fut un temps où la jalousie, l'hypocrisie et tout ce que pouvait produire le cœur comme sentiments amères et noir restaient timidement cachés dans la pénombre à l'affut de la moindre faille pour envahir le corps et l’esprit, maintenant ils sortent au grand jour, marchent nonchalamment vers les pauvres créatures frêles que nous somme, en arborant un sourire vicieux avant de nous serrer de leur étreintes.
il fut un temps où le partage était sans arrière pensée, où l’amitié résistait à tout les type de vent que lui soufflait le temps, la vie était agréable et les journées même pluvieuses irradiaient d'une chaleur humaine presque divine...il fut un temps où l'oublie était le remède, tant il était facile de l'invoquer...même inconsciemment.
il fut un temps où l'argent ne faisait pas le bonheur, et où tout le monde en avait conscience, le répétait en y croyant dur comme...acier, il fut un temps où le pain était délicieux, où l'eau était sucrée, les lits douillets et les nuits calmes et revigorantes...où un simple sac en plastique faisait office de ballon, où une image grise paraissait riche en couleur, où les vieux traversaient la rue avec leur canne et un pantalon haricot.
il fut un temps où distinguer entre le rêve et la réalité était impossible, où les 3ide étaient spirituel, presque féerique si ce n'eut été les pauvres animaux sacrifiés pour et par des mains aveugles avides de vanité...il fut un temps où les ramadan chantaient des paroles sacrées, vidaient le corps mais enrichissaient les esprits, apportaient chaleur et miséricorde à des âmes en peines, rassasiant et bienfaisant...
il fut un temps où le regard porté sur cet horizon magique était beau, frais...vrai et innocent, désormais...
il fut un temps où le partage était sans arrière pensée, où l’amitié résistait à tout les type de vent que lui soufflait le temps, la vie était agréable et les journées même pluvieuses irradiaient d'une chaleur humaine presque divine...il fut un temps où l'oublie était le remède, tant il était facile de l'invoquer...même inconsciemment.
il fut un temps où l'argent ne faisait pas le bonheur, et où tout le monde en avait conscience, le répétait en y croyant dur comme...acier, il fut un temps où le pain était délicieux, où l'eau était sucrée, les lits douillets et les nuits calmes et revigorantes...où un simple sac en plastique faisait office de ballon, où une image grise paraissait riche en couleur, où les vieux traversaient la rue avec leur canne et un pantalon haricot.
il fut un temps où distinguer entre le rêve et la réalité était impossible, où les 3ide étaient spirituel, presque féerique si ce n'eut été les pauvres animaux sacrifiés pour et par des mains aveugles avides de vanité...il fut un temps où les ramadan chantaient des paroles sacrées, vidaient le corps mais enrichissaient les esprits, apportaient chaleur et miséricorde à des âmes en peines, rassasiant et bienfaisant...
il fut un temps où le regard porté sur cet horizon magique était beau, frais...vrai et innocent, désormais...
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