A l'heure où le marchand de sable s'assoupi
au plus tard, au plus noir de la nuit
je me lève, me redresse et me dis
que sans les Si, tout ne serait que folie
affrontant le souffle du temps
sous une pluie de journées battante
derrière moi les vestiges du passé
devant moi ceux d'un rêve fracassé
que pleure le ciel et que viennent les ravisseuses
qu'on ne me chante plus de pathétiques berceuses
passant arrêtez vous devant ma tente
écoutez mon histoire qui n'envie rien aux contes
c'est l'histoire d'un vaillant garçon
nourri à l'amour et à la compassion
qui ne demandait qu'a pardonner
prenait la vie pour une randonné
et voilà que les années passèrent
les voiles qui couvraient son monde s’effacèrent
volonté de jadis dure comme la pierre
malmenée par le temps tel l'eau sur la roche suivie du tonnerre
le fous rit de son propre sors
et les saints d’esprit rient de ceux des autres
la vie instruit avec ironie
mais le sage se place au dernier banc et sourit
qui mourra verra...nul retour de l'au delà
pour leur faim ils n'ont cessé de tenter en vain
par des sagesses fruit mur de la bêtise et du malsain
et avec mal-adresse de justifier les moyens
au plus tard, au plus noir de la nuit
je me lève, me redresse et me dis
que sans les Si, tout ne serait que folie
affrontant le souffle du temps
sous une pluie de journées battante
derrière moi les vestiges du passé
devant moi ceux d'un rêve fracassé
que pleure le ciel et que viennent les ravisseuses
qu'on ne me chante plus de pathétiques berceuses
passant arrêtez vous devant ma tente
écoutez mon histoire qui n'envie rien aux contes
c'est l'histoire d'un vaillant garçon
nourri à l'amour et à la compassion
qui ne demandait qu'a pardonner
prenait la vie pour une randonné
et voilà que les années passèrent
les voiles qui couvraient son monde s’effacèrent
volonté de jadis dure comme la pierre
malmenée par le temps tel l'eau sur la roche suivie du tonnerre
le fous rit de son propre sors
et les saints d’esprit rient de ceux des autres
la vie instruit avec ironie
mais le sage se place au dernier banc et sourit
qui mourra verra...nul retour de l'au delà
pour leur faim ils n'ont cessé de tenter en vain
par des sagesses fruit mur de la bêtise et du malsain
et avec mal-adresse de justifier les moyens
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