Quand on croit aimer quelqu'un (et je suis une grande rêveuse ) une force subite nous pousse à écrire des pages et des pages de poèmes illustrant le trouble de nos pensées, une simple soirée peut alors vous faire devenir insomniaque :
Rien qu’un regard…
Durant toute la soirée, je n’ai pu m’empêcher de te regarder,
Durant toute la soirée, mon regard en fait était tourné vers toi,
Toi qui, soit rieur et souriant, soit profondément pensif,
Gardais toujours un regard si expressif et à la fois si trouble à mes yeux…
Durant tout le repas je n’ai cessé d’essayer de te montrer
L’inavouable…
Derrière mes réactions directes se cachaient tant de choses,
Et je goûtais au plaisir de ces moments emplis
De tes sourires et de tes regards…
A chaque instant du coin de l’œil,
Je cherchais le plus discrètement possible
Tes regards, avec au plus profond de moi,
Une lueur d’espoir ravivée…
Durant les danses, je ne regardais personne en apparence,
Mais en fait, je te regardais, toi.
Toi, dont j’avais l’impression que ton regard me fuyait
Soudainement, comme si cela cachait quelque chose…
Je faisais finalement attention à tous tes gestes, tous tes regards…
Espérant toujours au plus profond de moi ;
Les musiques changeaient et devenaient plus sensuelles,
Tendant vers des danses à deux, plus rapprochés…
Et quand ainsi je dansais avec un autre, je crus subitement
Sentir le poids de ton regard, oui le tien enfin, j’en étais sûre,
Mais ne sachant pas tout de même,
Si ce regard cachait une pensée ou non…
Je ne le sais toujours pas.
Ce mystère reste entier et je ne sais si je le préfère ainsi.
Durant toute la soirée, je n’ai pu m’empêcher de te regarder,
Durant toute la soirée, mon regard en fait était tourné vers toi,
Toi dont, je ne sais plus quoi penser…
Mais je garde en moi le souvenir vivant de tes regards et de tes sourires
Caché au plus profond de mon cœur.
Souvenir du 9 avril 2004
Ce n'était heureusement / malheureusement que le premier d'une longue série.
tine
Rien qu’un regard…
Durant toute la soirée, je n’ai pu m’empêcher de te regarder,
Durant toute la soirée, mon regard en fait était tourné vers toi,
Toi qui, soit rieur et souriant, soit profondément pensif,
Gardais toujours un regard si expressif et à la fois si trouble à mes yeux…
Durant tout le repas je n’ai cessé d’essayer de te montrer
L’inavouable…
Derrière mes réactions directes se cachaient tant de choses,
Et je goûtais au plaisir de ces moments emplis
De tes sourires et de tes regards…
A chaque instant du coin de l’œil,
Je cherchais le plus discrètement possible
Tes regards, avec au plus profond de moi,
Une lueur d’espoir ravivée…
Durant les danses, je ne regardais personne en apparence,
Mais en fait, je te regardais, toi.
Toi, dont j’avais l’impression que ton regard me fuyait
Soudainement, comme si cela cachait quelque chose…
Je faisais finalement attention à tous tes gestes, tous tes regards…
Espérant toujours au plus profond de moi ;
Les musiques changeaient et devenaient plus sensuelles,
Tendant vers des danses à deux, plus rapprochés…
Et quand ainsi je dansais avec un autre, je crus subitement
Sentir le poids de ton regard, oui le tien enfin, j’en étais sûre,
Mais ne sachant pas tout de même,
Si ce regard cachait une pensée ou non…
Je ne le sais toujours pas.
Ce mystère reste entier et je ne sais si je le préfère ainsi.
Durant toute la soirée, je n’ai pu m’empêcher de te regarder,
Durant toute la soirée, mon regard en fait était tourné vers toi,
Toi dont, je ne sais plus quoi penser…
Mais je garde en moi le souvenir vivant de tes regards et de tes sourires
Caché au plus profond de mon cœur.
Souvenir du 9 avril 2004
Ce n'était heureusement / malheureusement que le premier d'une longue série.
tine
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