de ma fenêtre poussiéreuse j’aperçois jubilé
l’automne avec ses nuages noires assassinant l’été
mettant ainsi fin a cette dégoûtante guettait
estivale que les gens affiche tell un trophée
en bas j’aperçois les enfant entrain de jouer
sans se douter que leurs avenir et déjà scelle
eux les jeunes brebis si naïvement réserves
moi le serpent rouge qui n'a jamais voulu les fréquentés
le mouton noir qui préfère s'isoler plutôt qu’être chassé
je me détourne alors de cette utopie dégueulasse
mon regard vers mon miroir plein de crasse
qui me montre encore un fois cette ignoble masse
vulgaire morceau de viande desuait de grâce
au bout d'une heure devant cette glace a me fixer
a quel point tout en moi est imparfait
avec mon point serré je le casse en mille morceau
alors le verre me cisaille toute la peau
peut après mon sang commence a s’écouler
dans un ruissellement écarlate plutôt régulier
mais au lieu de soigner ses nombreuses plaies
je regarde ce liquide de la vie lentement s'ecouler
si le paradis existait, ici serait l'enfer
pourquoi alors rester sur cette putain de terre
quands partir serait tellement salutaire
et rester serait une torture sans frontières
la suite pour bientot.....
l’automne avec ses nuages noires assassinant l’été
mettant ainsi fin a cette dégoûtante guettait
estivale que les gens affiche tell un trophée
en bas j’aperçois les enfant entrain de jouer
sans se douter que leurs avenir et déjà scelle
eux les jeunes brebis si naïvement réserves
moi le serpent rouge qui n'a jamais voulu les fréquentés
le mouton noir qui préfère s'isoler plutôt qu’être chassé
je me détourne alors de cette utopie dégueulasse
mon regard vers mon miroir plein de crasse
qui me montre encore un fois cette ignoble masse
vulgaire morceau de viande desuait de grâce
au bout d'une heure devant cette glace a me fixer
a quel point tout en moi est imparfait
avec mon point serré je le casse en mille morceau
alors le verre me cisaille toute la peau
peut après mon sang commence a s’écouler
dans un ruissellement écarlate plutôt régulier
mais au lieu de soigner ses nombreuses plaies
je regarde ce liquide de la vie lentement s'ecouler
si le paradis existait, ici serait l'enfer
pourquoi alors rester sur cette putain de terre
quands partir serait tellement salutaire
et rester serait une torture sans frontières
la suite pour bientot.....
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