Bercé par le bruit des pleurs
Je m’endors sur ta blessure
Ma langue sur les fissures du temps
Toi, la fierté brisée
Tenant l’amour par les brides du tourment
Tu chevauchais ma douleur comme un alezan
Ta figure se dessine
Lentement, capricieusement
Au cœur de mon illusion
…Et je m’efface devant le vent des fatalités
Je hurle
Je hurle, terre j’ai mal
Quand le ciel est larmes !
Quand la flamme meurt au bout de mon rire interdit
J’ai mal quand je te regarde
Incapable de prier
Pour ton désir exilé
Pour ton cœur capturé
Pour toi, cimetière de mes batailles perdues
…
L’image
L’image de cet enfant qui tend la main
Au passage du vent
Enfant à faire le long de ton regret
Le long de ma défaite
Tout en dessinant des poèmes sur les portes
De la ville où je t’ai pleurée
Je m’endors sur ta blessure
Ma langue sur les fissures du temps
Toi, la fierté brisée
Tenant l’amour par les brides du tourment
Tu chevauchais ma douleur comme un alezan
Ta figure se dessine
Lentement, capricieusement
Au cœur de mon illusion
…Et je m’efface devant le vent des fatalités
Je hurle
Je hurle, terre j’ai mal
Quand le ciel est larmes !
Quand la flamme meurt au bout de mon rire interdit
J’ai mal quand je te regarde
Incapable de prier
Pour ton désir exilé
Pour ton cœur capturé
Pour toi, cimetière de mes batailles perdues
…
L’image
L’image de cet enfant qui tend la main
Au passage du vent
Enfant à faire le long de ton regret
Le long de ma défaite
Tout en dessinant des poèmes sur les portes
De la ville où je t’ai pleurée
Commentaire