Ils ont dit sans savoir, que tu étais l'illuminé des sans cœurs
Le grand bourreau des vies, le nouvel avorteur
Que ton être ne méritait pas considération, ni essence postérieure
Mort ont il crié, mort ont ils voulu et mort ont-ils eu ...
Sont-ils les chiens galeux du pardon, ou les lucides des vertueux
Je n'en ai que faire de leur morale, puisqu'ils ont eu
Ce qu'ils considéraient comme leur du
L'avocat du diable m'ont-ils dit, mais l'œil protecteur, l'œil fraternel que tu m'as offert mon frère
Mérite le combat d'une vie et même sous terre
Je rendrai hommage aux bribes de vie que l'ont s'est offert
A l'éternité de cette innocence qui ne cesse d'être oublié
Je veux qu'ils sachent qu'ils ont dit sans savoir, qu'ils ont parlé sans connaître, qu'ils ont jugé sans voir
Peut être n'ont ils jamais foulés cette terre qui renfloue les souvenirs d'une vie
Peut être n'ont ils jamais eu cette indifférence aux fautes une fois le corps sans vie
Peut être n'ont ils jamais eu à pardonner l'impardonnable une fois l'âme partie
Seulement ce jour viendra, où la même rigidité les rattrapera
Où ils se verront esclave du cadavre des souvenirs
Où le pardon s'imposera comme seul offrande et seul désir.
Le grand bourreau des vies, le nouvel avorteur
Que ton être ne méritait pas considération, ni essence postérieure
Mort ont il crié, mort ont ils voulu et mort ont-ils eu ...
Sont-ils les chiens galeux du pardon, ou les lucides des vertueux
Je n'en ai que faire de leur morale, puisqu'ils ont eu
Ce qu'ils considéraient comme leur du
L'avocat du diable m'ont-ils dit, mais l'œil protecteur, l'œil fraternel que tu m'as offert mon frère
Mérite le combat d'une vie et même sous terre
Je rendrai hommage aux bribes de vie que l'ont s'est offert
A l'éternité de cette innocence qui ne cesse d'être oublié
Je veux qu'ils sachent qu'ils ont dit sans savoir, qu'ils ont parlé sans connaître, qu'ils ont jugé sans voir
Peut être n'ont ils jamais foulés cette terre qui renfloue les souvenirs d'une vie
Peut être n'ont ils jamais eu cette indifférence aux fautes une fois le corps sans vie
Peut être n'ont ils jamais eu à pardonner l'impardonnable une fois l'âme partie
Seulement ce jour viendra, où la même rigidité les rattrapera
Où ils se verront esclave du cadavre des souvenirs
Où le pardon s'imposera comme seul offrande et seul désir.
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