bonjour ,mon vrai voeux que tu sois bien ,et j'espère avoir de tes nouvelles.
moi je ne cesse de penser à toi car je te considère toujours la femme qui porte en elle ma franchise,ma confiance et mes plus noble sentiments.
je ne peux ignorer ma réalité ,celle que tes nouvelles me manque beaucoup ,toi ,ta voix ,tes idées..tous
je t'écrit cela en pensant à ce qui se passe en moi ,je réclame tes nouvelles .
juste pour toi
Je te jure !
Au nom des jours que ton ombre a ensoleiller ma vie .
Au nom de ton village battis sur mon sang maternelle.
Au nom de Tipaza qui est prête à être jolie pour toi.
Au nom de Tizi Ouzou qui a battis ma quiétude.
Au nom de ton prénom qui m’a enseigner l’histoire .
Au avant 31 mars 2004 je ne reviendrai pas
Je porte cette phrase dans mon cœur .
Cette date ne peut être celle d’un mariage ou anniversaire ou un séminaire .
C’est la date ou je suis sorti de la prison .
Et si je reviendrai ; je reviendrai à une prison sans murs.
Je passerai tout mon temps à t’écrire des poèmes et à graver ton nom dans mes projets.
Si je reviens, j’aimerai à fond tes parents frère et sœur, ton village car ils sont ma liberté conditionnelle.
Et quant je sortirai je les trouverai en face de moi je les embrasserai très fort.
Je leur dis que si je vous ai aimé.
Je savais que je ne trouverai que kahina pour mon futur.
Je le savais dans la lumière qui me guide au milieu de la déception faite de l’ombre de kahina.
Je le savais dans les boulevards de tizi ouzou qui ont battis ma quiétude.
Je le savais au milieu de cet été à Tipaza ou les petites filles portent les robes blanches.
Je le savais par ce pigeon qui migre chaque soir vers le village de kahina battis sur mon sang maternelle.
Lui qui reviens le jour m’apprendre les poèmes de matoub et les mélodie de Idir.
Je le savais en cet oiseau qui survole la terre kabyle sans peur.
Je peux réunir les poètes et les écrivains, les avocats et les journalistes pour leur demander de sentir la fraîcheur des prisons de liberté en été.
Je n’oublierai jamais le matin qui nous a réuni contre le mur de l’université comme des. innocents à parler de notre mystère et de notre passé que’on compte le rattraper.
Je n’oublierai jamais les paroles des chansons de la cassette offerte par elle.
Et je ne met jamais à coté cette signe de foudre kabyle.
elle a un bon cœur pour le mélanger à l’angoisse.
elle de très beaux yeux pour les mélanger aux larmes.
elle a un très charmant visage pour que’il porte les cicatrices du malheur.
Pour cela !
Ne demander plus à ta mère de changer d’avis mais demander au temps qu’il change sa nature
L’espoir est permis même dans les couloirs des prisons !
moi je ne cesse de penser à toi car je te considère toujours la femme qui porte en elle ma franchise,ma confiance et mes plus noble sentiments.
je ne peux ignorer ma réalité ,celle que tes nouvelles me manque beaucoup ,toi ,ta voix ,tes idées..tous
je t'écrit cela en pensant à ce qui se passe en moi ,je réclame tes nouvelles .
juste pour toi
Je te jure !
Au nom des jours que ton ombre a ensoleiller ma vie .
Au nom de ton village battis sur mon sang maternelle.
Au nom de Tipaza qui est prête à être jolie pour toi.
Au nom de Tizi Ouzou qui a battis ma quiétude.
Au nom de ton prénom qui m’a enseigner l’histoire .
Au avant 31 mars 2004 je ne reviendrai pas
Je porte cette phrase dans mon cœur .
Cette date ne peut être celle d’un mariage ou anniversaire ou un séminaire .
C’est la date ou je suis sorti de la prison .
Et si je reviendrai ; je reviendrai à une prison sans murs.
Je passerai tout mon temps à t’écrire des poèmes et à graver ton nom dans mes projets.
Si je reviens, j’aimerai à fond tes parents frère et sœur, ton village car ils sont ma liberté conditionnelle.
Et quant je sortirai je les trouverai en face de moi je les embrasserai très fort.
Je leur dis que si je vous ai aimé.
Je savais que je ne trouverai que kahina pour mon futur.
Je le savais dans la lumière qui me guide au milieu de la déception faite de l’ombre de kahina.
Je le savais dans les boulevards de tizi ouzou qui ont battis ma quiétude.
Je le savais au milieu de cet été à Tipaza ou les petites filles portent les robes blanches.
Je le savais par ce pigeon qui migre chaque soir vers le village de kahina battis sur mon sang maternelle.
Lui qui reviens le jour m’apprendre les poèmes de matoub et les mélodie de Idir.
Je le savais en cet oiseau qui survole la terre kabyle sans peur.
Je peux réunir les poètes et les écrivains, les avocats et les journalistes pour leur demander de sentir la fraîcheur des prisons de liberté en été.
Je n’oublierai jamais le matin qui nous a réuni contre le mur de l’université comme des. innocents à parler de notre mystère et de notre passé que’on compte le rattraper.
Je n’oublierai jamais les paroles des chansons de la cassette offerte par elle.
Et je ne met jamais à coté cette signe de foudre kabyle.
elle a un bon cœur pour le mélanger à l’angoisse.
elle de très beaux yeux pour les mélanger aux larmes.
elle a un très charmant visage pour que’il porte les cicatrices du malheur.
Pour cela !
Ne demander plus à ta mère de changer d’avis mais demander au temps qu’il change sa nature
L’espoir est permis même dans les couloirs des prisons !
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