Un sobre sourire toujours aux lèvres
Vous ne l’entendrez jamais geindre
Des yeux à la flamme jamais mièvre
Que vous ne verrez point s’éteindre
Forte carrure, silhouette imposante
Inusable penseriez-vous qu’il soit ?
Que l’on ne s’y méprenne, ma foi !
Un rien, son fin cœur, mouvemente !
Mais vous ne le sauriez aucunement
Si je ne le disais ; plus d’un il dupa !
L’air insouciant, il s’en va sereinement
Le long du quartier, faire les cent pas
Moi qui sais son cœur, sais son âme
Et sais de ses années les turbulences
À son endurance, Je fais la révérence
En preux chevalier, sa couvée l’acclame
Parangon de vertu, antre de sagesse
Devant tous affres jamais ne rampa
De son discret amour, cette largesse
À mes yeux, lui seul détient ; papa !
Vous ne l’entendrez jamais geindre
Des yeux à la flamme jamais mièvre
Que vous ne verrez point s’éteindre
Forte carrure, silhouette imposante
Inusable penseriez-vous qu’il soit ?
Que l’on ne s’y méprenne, ma foi !
Un rien, son fin cœur, mouvemente !
Mais vous ne le sauriez aucunement
Si je ne le disais ; plus d’un il dupa !
L’air insouciant, il s’en va sereinement
Le long du quartier, faire les cent pas
Moi qui sais son cœur, sais son âme
Et sais de ses années les turbulences
À son endurance, Je fais la révérence
En preux chevalier, sa couvée l’acclame
Parangon de vertu, antre de sagesse
Devant tous affres jamais ne rampa
De son discret amour, cette largesse
À mes yeux, lui seul détient ; papa !

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