dansent
les souvenirs de mon enfance
où je l'entends rire
me tenant par la main
m’entraînant dans les champs
de nos enfantillages
faisant trembler le sillage
de nos âges où la tendresse
était le maître mot de l'amour
que nous nous portions
le soleil brillait dans nos âmes pures
insouciants de notre avenir
on courait après lui
cherchant dans la lueur
de la prunelle des yeux de notre mère
la terre de notre innocence
elle qui nous a tant protégé
contre les intempéries la maladie
de la méconnaissance...
le geste de celle ci caressant nos cheveux
où nous contant des histoires...
La pudeur de nos cris étaient si
francs que l'horizon souriait
de notre complicité
d'un seul regard on comprenait
nos désirs de vie nos sourires
d adolescents nous menant
vers des lieux inconnus
si cruels que ceux ci
ont déchiré la pureté de deux esprits
qui ne pouvaient être séparés
embryonnaires on souffre notre éloignement
dans la cruauté du néant
de nos cœurs.
on avance sans se retourner
mais nous sommes et serons à jamais
liés.
Dieu est seul à décider de séparer
un être vivant
de sa mère,
son père,
frère
ou sœur...
A part lui qui de droit...
Amine!
lily la diablesse
le 29 novembre 2013
les souvenirs de mon enfance
où je l'entends rire
me tenant par la main
m’entraînant dans les champs
de nos enfantillages
faisant trembler le sillage
de nos âges où la tendresse
était le maître mot de l'amour
que nous nous portions
le soleil brillait dans nos âmes pures
insouciants de notre avenir
on courait après lui
cherchant dans la lueur
de la prunelle des yeux de notre mère
la terre de notre innocence
elle qui nous a tant protégé
contre les intempéries la maladie
de la méconnaissance...
le geste de celle ci caressant nos cheveux
où nous contant des histoires...
La pudeur de nos cris étaient si
francs que l'horizon souriait
de notre complicité
d'un seul regard on comprenait
nos désirs de vie nos sourires
d adolescents nous menant
vers des lieux inconnus
si cruels que ceux ci
ont déchiré la pureté de deux esprits
qui ne pouvaient être séparés
embryonnaires on souffre notre éloignement
dans la cruauté du néant
de nos cœurs.
on avance sans se retourner
mais nous sommes et serons à jamais
liés.
Dieu est seul à décider de séparer
un être vivant
de sa mère,
son père,
frère
ou sœur...
A part lui qui de droit...
Amine!
lily la diablesse
le 29 novembre 2013
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