Ce n’est plus des mots
C’est des soupirs
Muets, nous sommes
Devant les cortèges mortuaires
Des âmes déchirées
Tu as mal
Moi aussi
….
Calmement, tu reviens
Dans le creux de ma passion
Tu reviens…
Prendre ce que tu n’as jamais perdu
Tu reviens..
Mais oui tu reviens
Je te tiens par une larme
Je tire
Et puis je tire
Je me fais mal
Là où tu souffres
Mais c’est bien toi
Amante du poète assassiné
Le long de ses rimes
Puis,puis
Le poète renaît
Au son de ton rire en larmes
Se blesse
Aux baisers de ta bouche
Avale le sang
Le sang
Le sang se dessine sur ses fautes
Le revoilà le poète assassiné
Il renaît
Il revit.
Il aime en pleurant
Ce qu’il ne perdra jamais
C’est des soupirs
Muets, nous sommes
Devant les cortèges mortuaires
Des âmes déchirées
Tu as mal
Moi aussi
….
Calmement, tu reviens
Dans le creux de ma passion
Tu reviens…
Prendre ce que tu n’as jamais perdu
Tu reviens..
Mais oui tu reviens
Je te tiens par une larme
Je tire
Et puis je tire
Je me fais mal
Là où tu souffres
Mais c’est bien toi
Amante du poète assassiné
Le long de ses rimes
Puis,puis
Le poète renaît
Au son de ton rire en larmes
Se blesse
Aux baisers de ta bouche
Avale le sang
Le sang
Le sang se dessine sur ses fautes
Le revoilà le poète assassiné
Il renaît
Il revit.
Il aime en pleurant
Ce qu’il ne perdra jamais
Commentaire