A Chahrazède
Dans l'univers des âges le temps coule sans cesse
Comme un fleuve qui cherche un lointain océan,
Arrachant au passage des restes de jeunesse,
Pour des flocons d'espoir à chaque nouvel an.
Qu'en cette année nouvelle bourgeonne le printemps
Ce matin de ta vie, malgré cette saison
Qui voile quelquefois le ciel de ta maison;
Il n'est point de tempête qui dure très longtemps.
On ne peut rien offrir de mieux à sa princesse
Que ce que son silence murmure avec le coeur
Implorant chaque jour l'amour et la tendresse
Pour oublier le temps des larmes, des rancoeurs.
J'aurais aimé t'offrir une vie de bonheur
Qui convienne à ton coeur autant qu'à ta raison
Un jour je te verrai quitter notre maison,
Mais tu seras toujours présente dans mon coeur.
Dans l'univers des âges le temps coule sans cesse
Comme un fleuve qui cherche un lointain océan,
Arrachant au passage des restes de jeunesse,
Pour des flocons d'espoir à chaque nouvel an.
Qu'en cette année nouvelle bourgeonne le printemps
Ce matin de ta vie, malgré cette saison
Qui voile quelquefois le ciel de ta maison;
Il n'est point de tempête qui dure très longtemps.
On ne peut rien offrir de mieux à sa princesse
Que ce que son silence murmure avec le coeur
Implorant chaque jour l'amour et la tendresse
Pour oublier le temps des larmes, des rancoeurs.
J'aurais aimé t'offrir une vie de bonheur
Qui convienne à ton coeur autant qu'à ta raison
Un jour je te verrai quitter notre maison,
Mais tu seras toujours présente dans mon coeur.

Commentaire