Une Chose Arrêtée
Déjà , je pressens
Le poids du temps sur mes épaules
Je me suis enfui du temps passé
Et Je fuis
L'horizon me suit
Et Je me fuis
Tel le mirage, je m’éloigne
Le hasard m’épie
Il me suit telle l'ombre
Les coups de l'amitié sont inconsolables.
Je me suis échappée
Le hasard me suit
J' entends mes pensées
Des réflexions, ces voix du monde
Le temps passe emprisonné
Combien de jours encore
La vie est si rapide
Qu'elle arrive trop souvent à nous éviter
Telle fleur ;elle est lente à mûrir
Tout s’éloigne
Et nous manquons à la vie
A l'amitié et à la bonté
Tout se réduit à chercher
La douceur d'un temps
Et je me vis en rêves
Avant de s'enfuir
Si difficile à expliquer
Sans comprendre ce qui afflue
Un mélange d' émotions
Ça arrive !
Tous les jours je m'enfuis un peu plus
Telle la lumière qui s'infiltre et diminue
Ma voie vogue à l'aveuglette
Une vague sombre se déchaîne
Le temps ne compte plus
Et voilà que mes enfants se laissent bercer sur cette vague
Et j' ai su que rien ne pourrait nous séparer
Ni tracas quotidiens
Qu'ils seront la couleur de ma vie
Qu'ils ont pris mon cœur qui saigne
ET soudains,sont ils tristes ou joyeux ?
Mon pauvre cœur d’égoïste , seul se livre
Une larme ou un soupir ?
Un lamentable son
Mes ambitions, mes futiles plaisirs
Je fuis une froide solitude, de sombres pensées
Ici bas, les jours sont sans joie
CE n'est rien d’entre ces choses
Qu'une amitié qui m’égare
Une douleur qui compose ma magie
J'avais cru que j'avais cet « te » ami »e »
Hélas, à tenter de les garder,je les ai perdus
A tenter les choses, je n'engage plus mon cœur
Il m'est réservé qu'à demi
L'autre étant à mes petits
Je prends de leur main , le petit baiser
ils ne me refusent point ce qui me fait vivre
CE sont mes anges qui me veillent
Qui m'aiment et qui se laisse aimer
Leur enfance ne connaît pas d'ennuis
Ni de rancœur, ni de futiles jalousies
Une simple amitié dessine leur complicité
Une lumière qui me pénètre quand les malheurs traversent ma vie
======>pomegranate
Le poids du temps sur mes épaules
Je me suis enfui du temps passé
Et Je fuis
L'horizon me suit
Et Je me fuis
Tel le mirage, je m’éloigne
Le hasard m’épie
Il me suit telle l'ombre
Les coups de l'amitié sont inconsolables.
Je me suis échappée
Le hasard me suit
J' entends mes pensées
Des réflexions, ces voix du monde
Le temps passe emprisonné
Combien de jours encore
La vie est si rapide
Qu'elle arrive trop souvent à nous éviter
Telle fleur ;elle est lente à mûrir
Tout s’éloigne
Et nous manquons à la vie
A l'amitié et à la bonté
Tout se réduit à chercher
La douceur d'un temps
Et je me vis en rêves
Avant de s'enfuir
Si difficile à expliquer
Sans comprendre ce qui afflue
Un mélange d' émotions
Ça arrive !
Tous les jours je m'enfuis un peu plus
Telle la lumière qui s'infiltre et diminue
Ma voie vogue à l'aveuglette
Une vague sombre se déchaîne
Le temps ne compte plus
Et voilà que mes enfants se laissent bercer sur cette vague
Et j' ai su que rien ne pourrait nous séparer
Ni tracas quotidiens
Qu'ils seront la couleur de ma vie
Qu'ils ont pris mon cœur qui saigne
ET soudains,sont ils tristes ou joyeux ?
Mon pauvre cœur d’égoïste , seul se livre
Une larme ou un soupir ?
Un lamentable son
Mes ambitions, mes futiles plaisirs
Je fuis une froide solitude, de sombres pensées
Ici bas, les jours sont sans joie
CE n'est rien d’entre ces choses
Qu'une amitié qui m’égare
Une douleur qui compose ma magie
J'avais cru que j'avais cet « te » ami »e »
Hélas, à tenter de les garder,je les ai perdus
A tenter les choses, je n'engage plus mon cœur
Il m'est réservé qu'à demi
L'autre étant à mes petits
Je prends de leur main , le petit baiser
ils ne me refusent point ce qui me fait vivre
CE sont mes anges qui me veillent
Qui m'aiment et qui se laisse aimer
Leur enfance ne connaît pas d'ennuis
Ni de rancœur, ni de futiles jalousies
Une simple amitié dessine leur complicité
Une lumière qui me pénètre quand les malheurs traversent ma vie
======>pomegranate
Commentaire