Petite sœur.
Quand la brise s’amuse avec tes mèches blondes
Mêlant à leur douceur la lumière des cieux,
Ton regard se détache et embrasse le monde,
Car la terre et le ciel se trouvent dans tes yeux.
Parfois petite enfant que les enfants adorent,
Capricieuse ou taquine, quelquefois exigeante,
Tu parles sans passion, secoues tes cheveux d’or,
Et on cède toujours à ta voix caressante.
Je t’ai vue par moment laborieuse, affairée,
Accomplir le miracle aux travaux ménagers.
Tu t’inquiètes d’un rien, d’une humeur altérée,
Et quand survient le mal, tu aimes soulager.
Toi la fille tranquille, affectueuse et pure,
Et la femme attentive si perspicace et mûre,
Toi qui offres sans cesse et ta main et ton cœur,
Toi la mère, toi l’enfant, je te chérie, ma sœur.
Quand la brise s’amuse avec tes mèches blondes
Mêlant à leur douceur la lumière des cieux,
Ton regard se détache et embrasse le monde,
Car la terre et le ciel se trouvent dans tes yeux.
Parfois petite enfant que les enfants adorent,
Capricieuse ou taquine, quelquefois exigeante,
Tu parles sans passion, secoues tes cheveux d’or,
Et on cède toujours à ta voix caressante.
Je t’ai vue par moment laborieuse, affairée,
Accomplir le miracle aux travaux ménagers.
Tu t’inquiètes d’un rien, d’une humeur altérée,
Et quand survient le mal, tu aimes soulager.
Toi la fille tranquille, affectueuse et pure,
Et la femme attentive si perspicace et mûre,
Toi qui offres sans cesse et ta main et ton cœur,
Toi la mère, toi l’enfant, je te chérie, ma sœur.
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