Rêveries
Laisse mon cœur jeuner
De peines, au menu abondance
Laisse mon cœur soupirer
Dans les frimas de l’adolescence
Laisse mon cœur palpiter
Au souvenir d’un regard de braise
A ce sein contre mon corps abimé
Rougi au fer d’un enfer en transe
Au mystère de l’infini
Nul songe n’est tenu
Grandeur et décadence, unis
Comme cinq doigts crochus
L’inaudible conscience s’évertue
Contre vent et marrée à prêcher
Aux âmes sibyllines dévêtues
Le trésor d’une prière oublié
Ce soir un cœur contrit, vague pèlerin
Effleure tendrement un passé fantaisie
Les plaies du temps couleur satin
Écrivent chaque nuit, de proses rêveries.
Laisse mon cœur jeuner
De peines, au menu abondance
Laisse mon cœur soupirer
Dans les frimas de l’adolescence
Laisse mon cœur palpiter
Au souvenir d’un regard de braise
A ce sein contre mon corps abimé
Rougi au fer d’un enfer en transe
Au mystère de l’infini
Nul songe n’est tenu
Grandeur et décadence, unis
Comme cinq doigts crochus
L’inaudible conscience s’évertue
Contre vent et marrée à prêcher
Aux âmes sibyllines dévêtues
Le trésor d’une prière oublié
Ce soir un cœur contrit, vague pèlerin
Effleure tendrement un passé fantaisie
Les plaies du temps couleur satin
Écrivent chaque nuit, de proses rêveries.
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