Tes vingt ans.
Du fin fond de mon âge, je contemple le tien. Jaloux de sa verdure, dans mes yeux une rupture en a fait le chemin. De tes vingt ans toujours il y a vingt ans déjà que je ne me lasse pas, à égrener le temps et limer le tranchant de ta voix, la rigueur de ton froid, les abysses de ta foi.
Il n’y a que quelques heures que je me lis en toi, je me découvre nu à la nymphe que tu es et les petits frissons que tes désires me donnent, ont l’incivilité de ne dire à personne, que mon destin en toi n’est qu’un vent qui résonne.
Le subtil parfum que ton corps me fredonne ne laisse en aucun cas la parole à mon corps, qui déjà harassé, se laisse voyager au-delà de ton âge, bercé par l’aquilon..
Surprise par le plaisir, séquelle de ma jeunesse, tu as tissé la liane m’emprisonnant en toi, pour que ma mémoire ne s’en lasse pas, pour que ton soupir en emboîtant le pas, à ma folie, se laissant emporter par une étrange vague, te dessinant en moi, jusqu’à la fin du temps.
:wink:
Du fin fond de mon âge, je contemple le tien. Jaloux de sa verdure, dans mes yeux une rupture en a fait le chemin. De tes vingt ans toujours il y a vingt ans déjà que je ne me lasse pas, à égrener le temps et limer le tranchant de ta voix, la rigueur de ton froid, les abysses de ta foi.
Il n’y a que quelques heures que je me lis en toi, je me découvre nu à la nymphe que tu es et les petits frissons que tes désires me donnent, ont l’incivilité de ne dire à personne, que mon destin en toi n’est qu’un vent qui résonne.
Le subtil parfum que ton corps me fredonne ne laisse en aucun cas la parole à mon corps, qui déjà harassé, se laisse voyager au-delà de ton âge, bercé par l’aquilon..
Surprise par le plaisir, séquelle de ma jeunesse, tu as tissé la liane m’emprisonnant en toi, pour que ma mémoire ne s’en lasse pas, pour que ton soupir en emboîtant le pas, à ma folie, se laissant emporter par une étrange vague, te dessinant en moi, jusqu’à la fin du temps.
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