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Origines
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Parfois on s'isole
car on a trop souffert
renonçant à aimer on renonce à souffrir
on devient fragile on reste immobile
on a peur de tout on a peur de rien
On écoute son silence
et on maudit l'absence
on a le coeur qui s'en va
il se détache de soit
on respire mais est ce qu'on vit?
On s'emmure en soit
Et puis un beau jour
A force de s'entendre pleurer
d'avoir trop pleuré à l'ombre de soit
D'avoir oublié que l'on avait un coeur
A force de trop de douleur
une fleur de conscience renait
comme une étoile qui se dévoile
peu à peu elle a grandit
Et murmure à ce coeur qui était partis
ça suffit, rélève toi
Et oublie tout
respire et ouvre les yeux,
regarde ce qui est si beau en toi
Tu es magnifique
Tu es vivante alors n'aie plus de crainte
Et qu'importe les étreintes même si elles se déchirent
Qu'importe d'avoir mal et de pleurer
Et puis l'amour ne meurt jamais
c'est un brasier qui ne s'éteint jamais
Il faut seulement le préserver
et ranimer sans cesse les cendres
Il vaut mieux aimer et souffrir mille morts
que de mourir sans avoir aimé.
Bonjour Thirga et Lana,
Merci lana pour ton si beau poème, il est si comment dire... poignant? émouvant je crois. Il est sublime en tous les cas vibrant d'émotion.
Merci et belle journée
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Des fois on ne regrette pas ce qu'on dit mais ce qu'on a pas dit et qu'on aurait du dire.
merci pour ce beau poème.
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J'ai crains de l'avouer ce maudit mot "je t'aime"
Le mot que tu retiens entre tes lèvres est ton esclave. Celui que tu prononces est ton maître
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Origines
Elle m'a dit "je t'aime" laissant perler mes larmes
Elle a compris soudain le comment le pourquoi
Le mot que j'attendais l'a prononçé pour moi
Mon coeur s'est allégée en déposant les armes
Elle m'écrit un poème qui me définit bien
Me le lis à haute voix et dire qu'elle me connait!
Et j'écoute en silence tout les mots un à un
Elle a cerné mes pleurs, et dire qu'elle le savait!
Me conseille doucement de soulager ma peine
Avec ma verve vive: composser un poème
Des idiomes que j'enfile comme un collier de perle
Des murmures, des amours, des rêves qui m'interpellent
J'ai vécu le mutisme qui conduit à la haine
J'ai crains de l'avouer ce maudit mot "je t'aime"
Mais finalement que sais-je de la Vie, de l'Amour
A toujours s'isoler dans imprenable tour?
25/09/2004Tags: Aucun(e)
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