Un café viennois
Ça ne t’est jamais arrivé de marcher sous la pluie,
En voyageant avec ton esprit au delà des bitumes et de toute philosophie
Ça ne t’est jamais arrivé de prendre un café, un dimanche après midi,
Fumer une clope en attendant mon arrivé.
Çà ne t’est jamais arrivé de vouloir troqué l’humanité,
Pour un instant dans mes bras.
CA ne t’est jamais arrivé de sourire dans ton petit coin,
Et dire qu’est ce qu’il devient,
Lui l’incorrigible humain.
Avec le temps tout s’en va chantait une grande voix,
Avec le temps tout me revient répliqua une voix au fond de moi
De nulle part, me resurgit ton visage à chaque fois
M’as-tu, enfin, pardonné mystérieuse demoiselle au chapeau viennois
Pardonnes-moi ou Achèves-moi avec tes ciseaux de couturière,
Et de grâce, Laisse-moi vivre le souvenir d’un amour impossible,
En paix, dans l’asile de mes vers…
Ça ne t’est jamais arrivé de marcher sous la pluie,
En voyageant avec ton esprit au delà des bitumes et de toute philosophie
Ça ne t’est jamais arrivé de prendre un café, un dimanche après midi,
Fumer une clope en attendant mon arrivé.
Çà ne t’est jamais arrivé de vouloir troqué l’humanité,
Pour un instant dans mes bras.
CA ne t’est jamais arrivé de sourire dans ton petit coin,
Et dire qu’est ce qu’il devient,
Lui l’incorrigible humain.
Avec le temps tout s’en va chantait une grande voix,
Avec le temps tout me revient répliqua une voix au fond de moi
De nulle part, me resurgit ton visage à chaque fois
M’as-tu, enfin, pardonné mystérieuse demoiselle au chapeau viennois
Pardonnes-moi ou Achèves-moi avec tes ciseaux de couturière,
Et de grâce, Laisse-moi vivre le souvenir d’un amour impossible,
En paix, dans l’asile de mes vers…
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