bonjour
Pour tout ceux qui aiment la poésies.
Je ne viendrai pas ce soir te combattre, ô bête
en qui vont les pêchés d'une nation,
Ni creuser dans ta chair impurs;
Une ligne de souffrance !
Sous l'incurable chagrin que verse mes yeux
Je te demande d'être avec ce que je pense,
Et non avec ce que je fais ;
Sans songe planant sous les crépuscules inconnus du remords,
Et que tu peut les savourer après tes noirs mensonges
Toi qui sur le néant en sais plus que les morts ....
Tu fermeras l’œil, pour ne point voir ;
par ton âme glacer ,
tu verras tes monstruosités hargneuses,
Des démons noirs et des loups noirs
Car le vice , rongeant ta native noblesse
Ma comme toi forgé de sa faiblesse
Mais tandis que ton sein de roche est hanté
Par un cœur si grand que l'univers
Je Fu , laide et avide comme un fantôme
Qui a peur de mourir ....
MU
Pour tout ceux qui aiment la poésies.
Je ne viendrai pas ce soir te combattre, ô bête
en qui vont les pêchés d'une nation,
Ni creuser dans ta chair impurs;
Une ligne de souffrance !
Sous l'incurable chagrin que verse mes yeux
Je te demande d'être avec ce que je pense,
Et non avec ce que je fais ;
Sans songe planant sous les crépuscules inconnus du remords,
Et que tu peut les savourer après tes noirs mensonges
Toi qui sur le néant en sais plus que les morts ....
Tu fermeras l’œil, pour ne point voir ;
par ton âme glacer ,
tu verras tes monstruosités hargneuses,
Des démons noirs et des loups noirs
Car le vice , rongeant ta native noblesse
Ma comme toi forgé de sa faiblesse
Mais tandis que ton sein de roche est hanté
Par un cœur si grand que l'univers
Je Fu , laide et avide comme un fantôme
Qui a peur de mourir ....
MU