Tristes sont mes faux calculs
Qui placent les nombres à l'envers
Encore une phase qui bascule
Dans un sombre univers
Dans une démarche crédule
Tu disais que tu es sincère
Tu m'as mis dans ta cellule
Et tu as fais marche arrière
Des tristesses je dissimule
Je continue et persévère
Des belles missives j'articule
Mais est ce que tu me considère ?
Tout ces discours et formules
N'ont pu percer ton mystère
Des déboires j'accumule
Absence silence et galère
Paradoxe des crépuscules
Et des moments de lumière
D'une présence qui bouscule
Et qui rend les goûts amères
Sur tes voies je déambule
Malgré toutes ces barrières
Mais je me sens toute ridicule
Et de moi je suis pas fière
Par orgueil je me recule
Je ne suis plus ta cavalière
La posture que tu véhicules
Indique que je suis étrangère .
Ithrinesvah Fatima
jai préfére la vérité sans la fabrication des monsenge ....voila un très beau poème, touchant qui mérite un partage
Qui placent les nombres à l'envers
Encore une phase qui bascule
Dans un sombre univers
Dans une démarche crédule
Tu disais que tu es sincère
Tu m'as mis dans ta cellule
Et tu as fais marche arrière
Des tristesses je dissimule
Je continue et persévère
Des belles missives j'articule
Mais est ce que tu me considère ?
Tout ces discours et formules
N'ont pu percer ton mystère
Des déboires j'accumule
Absence silence et galère
Paradoxe des crépuscules
Et des moments de lumière
D'une présence qui bouscule
Et qui rend les goûts amères
Sur tes voies je déambule
Malgré toutes ces barrières
Mais je me sens toute ridicule
Et de moi je suis pas fière
Par orgueil je me recule
Je ne suis plus ta cavalière
La posture que tu véhicules
Indique que je suis étrangère .
Ithrinesvah Fatima
jai préfére la vérité sans la fabrication des monsenge ....voila un très beau poème, touchant qui mérite un partage
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