Salâm
Yimma tu me berçais, et cajolais toujours.
De ton lait nourricier, mes veines furent irriguées.
Si malade je fus, anxieuse et affligée,
L’insomnie te gagnait, jusqu’au lever du jour.
Amour tu m’as donné, même dans tes sermons.
Valeurs j’ai conservées, fierté plein les poumons.
Tant que je me souvienne, t’ai-je déjà dit « je t’aime » ?
Honteux je me l’avoue… juste dans les poèmes.
Si demain tu partais, là-bas vers ton Seigneur.
Quels seraient mes regrets, amertume et douleur !?
L’Eden est sous tes pieds, que je les embrasse.
Ô toi noble fierté, mal placée tu es crasse.
Si vous avez encore vos mamans dites leur que vous les aimez, et si vous n'arrivez pas à prononcer ces mots, montrez leur par vos actes ! Viendra un jour où peut-être nous ne les aurons plus auprès de nous. Et nous mesurerons alors peut-être quelle était leur valeur.
Yimma tu me berçais, et cajolais toujours.
De ton lait nourricier, mes veines furent irriguées.
Si malade je fus, anxieuse et affligée,
L’insomnie te gagnait, jusqu’au lever du jour.
Amour tu m’as donné, même dans tes sermons.
Valeurs j’ai conservées, fierté plein les poumons.
Tant que je me souvienne, t’ai-je déjà dit « je t’aime » ?
Honteux je me l’avoue… juste dans les poèmes.
Si demain tu partais, là-bas vers ton Seigneur.
Quels seraient mes regrets, amertume et douleur !?
L’Eden est sous tes pieds, que je les embrasse.
Ô toi noble fierté, mal placée tu es crasse.
Si vous avez encore vos mamans dites leur que vous les aimez, et si vous n'arrivez pas à prononcer ces mots, montrez leur par vos actes ! Viendra un jour où peut-être nous ne les aurons plus auprès de nous. Et nous mesurerons alors peut-être quelle était leur valeur.
Commentaire