« La Plume des Grandes Terres »…,
« … d’Elle, si l’on peut dire d’une période, bien mal écrite, d’un lieu, bien mal acquis, des êtres, si peu humain, en Elles, n’a pu observer, et donc a du ignorer, autant les raisons et la foi qui lui ont fait croire, sans frontières aux espaces ni lumières aux ailleurs, que l’existence un jour se quitte le sens d’une réalité, la réalité d’un sens… »
« …Aujourd’hui encore, comme tout au fil de Leur temps, combien d’Elle s’envole en tout air sans joie et comment d’Elles succombent en lumières sans choix, alors que tout air de la terre se promet nuit et jour des branches d’un nid des arbres, de la vie… »
« …Qui sont ces êtres, et peut être ces hommes, sans plumes, qui viennent et vont, au delà d’un esprit, en deçà de la vie, aussi longtemps qu’Elles suivent et aussi fondamentalement qu’Elle vit à leurs faits, à leurs droits, à leurs lois, ce que pour demain jamais hier ne rendit des montagnes des rivières en manne de lumière… »
« …Elle se réveilla comme Elles se réveillèrent, du bon sens, comme pour entendre l’air entre les blancs du ciel, ou comme pour surprendre l’eau entre les fleurs du miel, et vint à l’ouïe le soupçon comme vint à l’âme un frisson, l’histoire d’un ou deux murs qui, au loin, eurent été bâtis solidement, indélicatement, entre deux camps, stupidement aussi, entre 1 seul Peuple… »
« …Elle se questionna comme Elles se questionnèrent, du même air, sans pour autant ne pas, ne plus savoir, hier, avant hier, avant avant…au beau milieu d’une existence, l’évidence de Leur air, libre, de Leur vie, douce, et de Leurs venues, encore toutes et toujours longtemps, fragiles… »
« …Pourtant Toutes unies réunies accomplies, quel qu’en soit la nature* et l’issue* d’une raison sans prix, le mystère, ou le sacré, en conscience des accords qu’elles* invoquent évoquent et provoquent en Elles, Toutes, pour la cause d’une conséquence et contre la conséquence d’une cause qui jamais ne valent ni plus haut ni plus profond qu’un autre et même ciel dans le seul et même univers… »
« …Que sais-je, mais n’est-il ainsi, sans tout propos pourtant pensable en altitude, et/ou pensif en gratitude, d’un meilleur, ou d’un pire, chaque fois à venir, disons, purement, simplement, naturellement, qu’au cœur de la vie battent aussi des ailes aux rangs de la terre, des sages aux mers de l’oubli, des secondes aux fils de l’Instant,… »
Salam, merci...
« … d’Elle, si l’on peut dire d’une période, bien mal écrite, d’un lieu, bien mal acquis, des êtres, si peu humain, en Elles, n’a pu observer, et donc a du ignorer, autant les raisons et la foi qui lui ont fait croire, sans frontières aux espaces ni lumières aux ailleurs, que l’existence un jour se quitte le sens d’une réalité, la réalité d’un sens… »
« …Aujourd’hui encore, comme tout au fil de Leur temps, combien d’Elle s’envole en tout air sans joie et comment d’Elles succombent en lumières sans choix, alors que tout air de la terre se promet nuit et jour des branches d’un nid des arbres, de la vie… »
« …Qui sont ces êtres, et peut être ces hommes, sans plumes, qui viennent et vont, au delà d’un esprit, en deçà de la vie, aussi longtemps qu’Elles suivent et aussi fondamentalement qu’Elle vit à leurs faits, à leurs droits, à leurs lois, ce que pour demain jamais hier ne rendit des montagnes des rivières en manne de lumière… »
« …Elle se réveilla comme Elles se réveillèrent, du bon sens, comme pour entendre l’air entre les blancs du ciel, ou comme pour surprendre l’eau entre les fleurs du miel, et vint à l’ouïe le soupçon comme vint à l’âme un frisson, l’histoire d’un ou deux murs qui, au loin, eurent été bâtis solidement, indélicatement, entre deux camps, stupidement aussi, entre 1 seul Peuple… »
« …Elle se questionna comme Elles se questionnèrent, du même air, sans pour autant ne pas, ne plus savoir, hier, avant hier, avant avant…au beau milieu d’une existence, l’évidence de Leur air, libre, de Leur vie, douce, et de Leurs venues, encore toutes et toujours longtemps, fragiles… »
« …Pourtant Toutes unies réunies accomplies, quel qu’en soit la nature* et l’issue* d’une raison sans prix, le mystère, ou le sacré, en conscience des accords qu’elles* invoquent évoquent et provoquent en Elles, Toutes, pour la cause d’une conséquence et contre la conséquence d’une cause qui jamais ne valent ni plus haut ni plus profond qu’un autre et même ciel dans le seul et même univers… »
« …Que sais-je, mais n’est-il ainsi, sans tout propos pourtant pensable en altitude, et/ou pensif en gratitude, d’un meilleur, ou d’un pire, chaque fois à venir, disons, purement, simplement, naturellement, qu’au cœur de la vie battent aussi des ailes aux rangs de la terre, des sages aux mers de l’oubli, des secondes aux fils de l’Instant,… »
Salam, merci...


Commentaire